
Quelques suggestions pour améliorer le réalisme du jeu.
Un système de détection amélioré
Un calendrier des moins de –23 ans plus étoffé
Rajoutez les courses de coupe du monde manquantes (Coupe des nations Ville Saguenay, Toscane-Terre de cyclisme 2011), ainsi que d’autres épreuves phares pour les jeunes coureurs (Paris Roubaix Espoirs, Tour de la Vallée d’Aoste…) afin de pouvoir cibler plus facilement le type de coureur voulu (et de limiter les mauvaises surprises dues à un coup de chance).
Créer un circuit junior pour les coureurs de 17, 18 ans
Reprendre le calendrier de la coupe du monde pour les épreuves juniors. Pouvoir suivre l’évolution des jeunes sur plusieurs saisons afin de recruter plus facilement des jeunes coureurs de talent.
Envoyer des scouts sur les courses espoirs et juniors
Un scout récolte des informations tel que le scénario de la course (sprint, échappée, attaque tardive…), les coureurs les plus impressionnants… afin d’orienter le choix et de recouper les informations recueillies par les scouts de régions.
Limiter à 3 le nombre de stagiaires recrutables chaque année
Coller à la réalité et rendre plus difficile la détection de futurs grands. Permettre aux petites équipes ne pouvant pas se payer une légion de stagiaires de lutter plus efficacement sur le long terme avec les grosses écuries et éviter l’hyper concentration des bons coureurs dans certaines équipes comme c’est le cas dans certaines carrières.
Ajouter les championnats du monde des jeunes
Rajouter au calendrier les championnat –18 et –23 ans (course en ligne et contre-la-montre) où l’on sélectionne les coureurs selon leur réputation/résultats en espoirs et juniors et où la course est simulée (afin de ne pas avoir accès aux notes de tous les jeunes participants, ce qui serait bien trop simple).
Une gestion des carrières revues
Les come-backs
Des come-back de coureurs avec un niveau plus faible qu’avant leur départ après 1, 2, 3 ans à la retraite (à condition qu’ils ne soient pas trop âgés, un come-back à 44 ans est complètement irréaliste par exemple) sans pour autant que se soit systématique. Possibilité de démarcher les retraités pendant toute l’année pour les faire signer dans notre équipe et les inciter à reprendre la compétition.
Retraite plus précoce pour les champions
Dans la réalité, les meilleurs coureurs arrêtent, en général, très rapidement après avoir entamé leur déclin voir en plein gloire et ne font qu’une « année de trop » au maximum. Il faudrait que dès lors qu’un coureur avec un certain degré de réputation atteint un certain âge et que les résultats ne suivent plus, il envisage très sérieusement la retraite (avoir Evans et F. Schleck faire porteur d'eau dans l'équipe bis de la Garmin, c'est pas exactement réaliste). Sans systématiser non plus car ils existent des contre-exemples Sastre, McEwen… même s’ils restent très minoritaires.
Longévité accrue pour les capitaines de route
Des coureurs qui servent de « capitaines de route » (Hincapie, O’Grady, Klier, Cuesta) déclinent généralement plus tard et moins vite que les autres coureurs. Créer ce statut auquel les coureurs accéderont après plusieurs années en participant aux plus grandes courses (retour de la barre d’expérience ?). Un capitaine de route dans l’équipe protège mieux ses leaders que les autres coureurs et dépense moins d’énergie pour ramener les bidons.
Amélioration de l’aspect course
Prologue/Contre-la-montre
Prendre en compte la note de sprint dans les prologues très courts (2-3 kms).
Choisir l’ordre de départ de ses coureurs lors d’un contre-la-montre inaugural (notamment aux championnats du monde) comme dans la réalité afin de pouvoir jouer sur une évenltuelle météo changeante.
Ajouter des incidents mécaniques comme les crevaisons, sauts de chaîne avec un dépannage ne prenant pas plus de 30 secondes et aussi des chutes (le coureur doit repartir rapidement pour ne pas être trop pénalisé) sur terrain mouillé.
Nervosité
Plus un coureur est nerveux plus il a de chance de tomber. Sur les courses favorites du coureur et les objectifs du sponsor, la pression est plus importante donc la nervosité augmente. Comme pour les moments clés de la course (secteur pavé, approche du sprint final, replacement avant l’ascension finale, contre-la-montre décisif…). Ainsi, les chutes interviennent à des moments plus réalistes.
Courses pavés
Voir les groupes beaucoup plus étirés et répartis entre ceux sur les bas-côtés (chances de crevaisons accrues) et ceux sur le milieu de la route (les coureurs les plus forts) et personne entre les deux. Pouvoir donner l’ordre à son coureur de se positionner au milieu de la route ou dans les bas côtés, la capacité à rester au centre étant déterminé par la note de PAV et la fatigue du coureur.
Un système de détection amélioré
Un calendrier des moins de –23 ans plus étoffé
Rajoutez les courses de coupe du monde manquantes (Coupe des nations Ville Saguenay, Toscane-Terre de cyclisme 2011), ainsi que d’autres épreuves phares pour les jeunes coureurs (Paris Roubaix Espoirs, Tour de la Vallée d’Aoste…) afin de pouvoir cibler plus facilement le type de coureur voulu (et de limiter les mauvaises surprises dues à un coup de chance).
Créer un circuit junior pour les coureurs de 17, 18 ans
Reprendre le calendrier de la coupe du monde pour les épreuves juniors. Pouvoir suivre l’évolution des jeunes sur plusieurs saisons afin de recruter plus facilement des jeunes coureurs de talent.
Envoyer des scouts sur les courses espoirs et juniors
Un scout récolte des informations tel que le scénario de la course (sprint, échappée, attaque tardive…), les coureurs les plus impressionnants… afin d’orienter le choix et de recouper les informations recueillies par les scouts de régions.
Limiter à 3 le nombre de stagiaires recrutables chaque année
Coller à la réalité et rendre plus difficile la détection de futurs grands. Permettre aux petites équipes ne pouvant pas se payer une légion de stagiaires de lutter plus efficacement sur le long terme avec les grosses écuries et éviter l’hyper concentration des bons coureurs dans certaines équipes comme c’est le cas dans certaines carrières.
Ajouter les championnats du monde des jeunes
Rajouter au calendrier les championnat –18 et –23 ans (course en ligne et contre-la-montre) où l’on sélectionne les coureurs selon leur réputation/résultats en espoirs et juniors et où la course est simulée (afin de ne pas avoir accès aux notes de tous les jeunes participants, ce qui serait bien trop simple).
Une gestion des carrières revues
Les come-backs
Des come-back de coureurs avec un niveau plus faible qu’avant leur départ après 1, 2, 3 ans à la retraite (à condition qu’ils ne soient pas trop âgés, un come-back à 44 ans est complètement irréaliste par exemple) sans pour autant que se soit systématique. Possibilité de démarcher les retraités pendant toute l’année pour les faire signer dans notre équipe et les inciter à reprendre la compétition.
Retraite plus précoce pour les champions
Dans la réalité, les meilleurs coureurs arrêtent, en général, très rapidement après avoir entamé leur déclin voir en plein gloire et ne font qu’une « année de trop » au maximum. Il faudrait que dès lors qu’un coureur avec un certain degré de réputation atteint un certain âge et que les résultats ne suivent plus, il envisage très sérieusement la retraite (avoir Evans et F. Schleck faire porteur d'eau dans l'équipe bis de la Garmin, c'est pas exactement réaliste). Sans systématiser non plus car ils existent des contre-exemples Sastre, McEwen… même s’ils restent très minoritaires.
Longévité accrue pour les capitaines de route
Des coureurs qui servent de « capitaines de route » (Hincapie, O’Grady, Klier, Cuesta) déclinent généralement plus tard et moins vite que les autres coureurs. Créer ce statut auquel les coureurs accéderont après plusieurs années en participant aux plus grandes courses (retour de la barre d’expérience ?). Un capitaine de route dans l’équipe protège mieux ses leaders que les autres coureurs et dépense moins d’énergie pour ramener les bidons.
Amélioration de l’aspect course
Prologue/Contre-la-montre
Prendre en compte la note de sprint dans les prologues très courts (2-3 kms).
Choisir l’ordre de départ de ses coureurs lors d’un contre-la-montre inaugural (notamment aux championnats du monde) comme dans la réalité afin de pouvoir jouer sur une évenltuelle météo changeante.
Ajouter des incidents mécaniques comme les crevaisons, sauts de chaîne avec un dépannage ne prenant pas plus de 30 secondes et aussi des chutes (le coureur doit repartir rapidement pour ne pas être trop pénalisé) sur terrain mouillé.
Nervosité
Plus un coureur est nerveux plus il a de chance de tomber. Sur les courses favorites du coureur et les objectifs du sponsor, la pression est plus importante donc la nervosité augmente. Comme pour les moments clés de la course (secteur pavé, approche du sprint final, replacement avant l’ascension finale, contre-la-montre décisif…). Ainsi, les chutes interviennent à des moments plus réalistes.
Courses pavés
Voir les groupes beaucoup plus étirés et répartis entre ceux sur les bas-côtés (chances de crevaisons accrues) et ceux sur le milieu de la route (les coureurs les plus forts) et personne entre les deux. Pouvoir donner l’ordre à son coureur de se positionner au milieu de la route ou dans les bas côtés, la capacité à rester au centre étant déterminé par la note de PAV et la fatigue du coureur.