22 Sep 2011, 19:01
Je ne savais pas où le mettre, donc j'ai décidé de poster cela ici. Cela pourra peut-être servir qui sait 
- Collisions : bonne idée mais gâche une bonne partie du jeu. Mettre 40km pour ravitailler toute l'équipe. Attendre 10km de montée pour pouvoir gagner 10 places dans le peloton. Être bloqué en pleine attaque. Se faire gêner par les échappées dans la formation de notre train au sprint. Beaucoup de points négatifs, c'est à améliorer.
Dans certaines courses, les collisions rendent le jeu trop facile. Par exemple dans les cols comme Crostis et Finestre, les routes sont tellement étroites que sans faire le moindre effort, on peut éliminer de nombreux concurrents qui seront bloqués par les collisions. l'écrémage des premiers km ne se fait pas au train, mais aux collisions. Pour les petites arrivées escarpées en côte, c'est également trop facile grâce aux collisions (CF : Tour de San Luis dans PCM Daily).
Les collisions nous obligent à courir devant, à dépenser des forces pour bien nous placer. C'est bien, mais elles rendent parfois le jeu trop facile.
- Pavés : aucun réalisme. Les schémas sont toujours les mêmes. Pas de notions de points stratégiques ou quoique ce soit. La tactique de l'IA est de faire rouler ces équipiers. Ce n'est qu'à 15 ou 25 km de l'arrivée que les favoris décident d'attaquer, dans pratiquement chaque épreuve. Et dans ces 15-25 derniers km, même si on est dans les roues avec un très bon coureur comme EBH, on perd tout son énergie à suivre malgré une grosse note de plaine car la note de pavés tout juste correct. Des surprises, il y en a souvent dans les petites classiques, mais dans les grandes absolument aucune alors qu'en réalité, on a souvent quelques rescapés d'échappées dans les premiers. Aucune envie de jouer ces courses.
- Sprint : le grand progrès du jeu. Il faut être intelligent. Ne pas sortir trop tôt, ni trop tard. Il faut avoir le bon timing. Avec les trains c'est la même chose, il faut savoir bien doser ses efforts pour pouvoir l'emporter, c'est facile de se faire surprendre.
- Chronos : pas grand chose à redire. J'ai remarqué un bon truc, la récupération joue pas mal en fin de GT, c'est réaliste.
- Vallons : tout dépend des épreuves mais ça ressemble un peu aux classiques pavés. C'est assez prévisible, les leaders partent quasiment toujours au même endroit. Sur l'Amstel, ils partent vers 25km du but. Sur la Flèche, ils partent dans Ahin et s'expliquent sur le Mur. Dans LBL, ils partent au sommet de la Redoute, puis en remettent une grosse au sommet de Saint Nicolas. Pour les petites classiques, c'est pareil. Souvent les mêmes schémas. Par contre contrairement aux classiques pavés, les échappées vont plus souvent au bout dans les grandes épreuves, c'est pas réaliste. Malgré tout, ces épreuves manquent d'intensité, c'est parfois ennuyeux je trouve.
- Montagne : Parfois on voit des leaders se mettre à faire le tempo dans les cols quand ils n'ont plus d'équipiers. L'IA est trop robotisé. Je fais rouler mes équipiers, quand ils sont cramés je roule ou j'attaque. Ces courses manquent parfois de sens tactique, même s'il y a quelques petites améliorations. C'est chiant de voir tous les leaders attaquer dans des étapes style Pau-Lourdes, c'est à dire dans la plaine.
- Carrière : un peu facile à cause de la préparation des adversaires qui est parfois incompréhensible. La dernière fois sur les classiques ardennaises, tous les leaders étaient hors de forme et du coup ce sont des seconds couteaux qui ont tout gagné. Pareil parfois sur les GT. Problème de planification. Pour avoir une bonne carrière, je pense que je serais obligé de planifier moi-même les entrainements des autres leaders pour plus de cohérence. Mais cela ne résoudra pas tout quand je vois certains leaders venir dans les grands événements avec une bonne forme d'entrainement mais avec peu de jours de course...
Le moral a également beaucoup d'importance dans les performances et le truc est vraiment mal fichu. Notamment avec les médias où répondre après des victoires/places procurent un avantage très important par rapport aux autres coureurs. En mars par exemple, tous mes coureurs avait 10 pts de plus de moral par rapport aux autres, donc je gagnais tout facilement. Je n'y répondrais plus maintenant, le concept est suffisant.
- Collisions : bonne idée mais gâche une bonne partie du jeu. Mettre 40km pour ravitailler toute l'équipe. Attendre 10km de montée pour pouvoir gagner 10 places dans le peloton. Être bloqué en pleine attaque. Se faire gêner par les échappées dans la formation de notre train au sprint. Beaucoup de points négatifs, c'est à améliorer.
Dans certaines courses, les collisions rendent le jeu trop facile. Par exemple dans les cols comme Crostis et Finestre, les routes sont tellement étroites que sans faire le moindre effort, on peut éliminer de nombreux concurrents qui seront bloqués par les collisions. l'écrémage des premiers km ne se fait pas au train, mais aux collisions. Pour les petites arrivées escarpées en côte, c'est également trop facile grâce aux collisions (CF : Tour de San Luis dans PCM Daily).
Les collisions nous obligent à courir devant, à dépenser des forces pour bien nous placer. C'est bien, mais elles rendent parfois le jeu trop facile.
- Pavés : aucun réalisme. Les schémas sont toujours les mêmes. Pas de notions de points stratégiques ou quoique ce soit. La tactique de l'IA est de faire rouler ces équipiers. Ce n'est qu'à 15 ou 25 km de l'arrivée que les favoris décident d'attaquer, dans pratiquement chaque épreuve. Et dans ces 15-25 derniers km, même si on est dans les roues avec un très bon coureur comme EBH, on perd tout son énergie à suivre malgré une grosse note de plaine car la note de pavés tout juste correct. Des surprises, il y en a souvent dans les petites classiques, mais dans les grandes absolument aucune alors qu'en réalité, on a souvent quelques rescapés d'échappées dans les premiers. Aucune envie de jouer ces courses.
- Sprint : le grand progrès du jeu. Il faut être intelligent. Ne pas sortir trop tôt, ni trop tard. Il faut avoir le bon timing. Avec les trains c'est la même chose, il faut savoir bien doser ses efforts pour pouvoir l'emporter, c'est facile de se faire surprendre.
- Chronos : pas grand chose à redire. J'ai remarqué un bon truc, la récupération joue pas mal en fin de GT, c'est réaliste.
- Vallons : tout dépend des épreuves mais ça ressemble un peu aux classiques pavés. C'est assez prévisible, les leaders partent quasiment toujours au même endroit. Sur l'Amstel, ils partent vers 25km du but. Sur la Flèche, ils partent dans Ahin et s'expliquent sur le Mur. Dans LBL, ils partent au sommet de la Redoute, puis en remettent une grosse au sommet de Saint Nicolas. Pour les petites classiques, c'est pareil. Souvent les mêmes schémas. Par contre contrairement aux classiques pavés, les échappées vont plus souvent au bout dans les grandes épreuves, c'est pas réaliste. Malgré tout, ces épreuves manquent d'intensité, c'est parfois ennuyeux je trouve.
- Montagne : Parfois on voit des leaders se mettre à faire le tempo dans les cols quand ils n'ont plus d'équipiers. L'IA est trop robotisé. Je fais rouler mes équipiers, quand ils sont cramés je roule ou j'attaque. Ces courses manquent parfois de sens tactique, même s'il y a quelques petites améliorations. C'est chiant de voir tous les leaders attaquer dans des étapes style Pau-Lourdes, c'est à dire dans la plaine.
- Carrière : un peu facile à cause de la préparation des adversaires qui est parfois incompréhensible. La dernière fois sur les classiques ardennaises, tous les leaders étaient hors de forme et du coup ce sont des seconds couteaux qui ont tout gagné. Pareil parfois sur les GT. Problème de planification. Pour avoir une bonne carrière, je pense que je serais obligé de planifier moi-même les entrainements des autres leaders pour plus de cohérence. Mais cela ne résoudra pas tout quand je vois certains leaders venir dans les grands événements avec une bonne forme d'entrainement mais avec peu de jours de course...
Le moral a également beaucoup d'importance dans les performances et le truc est vraiment mal fichu. Notamment avec les médias où répondre après des victoires/places procurent un avantage très important par rapport aux autres coureurs. En mars par exemple, tous mes coureurs avait 10 pts de plus de moral par rapport aux autres, donc je gagnais tout facilement. Je n'y répondrais plus maintenant, le concept est suffisant.
Yousband vainqueur du jeu qui est le vainqueur de 2009