
Constat actuel : Les chutes surviennent de façon assez aléatoires (sauf cas des premières étapes de grand tour), sur tous les terrains.
1/
Il faudrait ajuster le risque de chute en fonction du rythme imposé par les coureurs. Je fais éco à la chute du TDF etape 7, avec Vinkourov et VDB pris dedans, où le peloton roulait à fond en descente (imprudemment). Ce type d'évènement n'apparaît quasiment jamais dans le jeu. Il me semble que le risque de chute (massive ou non) devrait être proportionnelle au rythme imposé, autant en descente que sur le plat. La descente devrait pouvoir être un réel terrain où il est possible de faire la sélection, ce qui est actuellement difficilement possible.
Un exemple :
Samuel Sanchez en effort curseur 85% en descente de col = 15 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Samuel Sanchez en effort curseur 70% en descente de col = 05 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Andy Schleck en effort curseur 85% en descente de col = 25 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Andy Schleck en effort curseur 70% en descente de col = 10 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
(ce ne sont pas forcément les chiffres les plus réalistes)
2/
Idem, gérer l'impact psychologique de ces chutes sur le peloton. Aucune incidence en fin d'étape lorsqu'il y a grande bagarre, mais que le peloton ralentisse s'il s'agit d'une étape de transition et que le coureur impliqué est un grand leader.
Un exemple :
Le peloton roule à 80 % et chute de 2 coureurs dont Samuel sanchez = ralentissement du peloton de 10 % sur les 5 prochains km.
PS : Il s'agit d'un premier jet au niveau de ma réflexion.
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Il faudrait ajuster le risque de chute en fonction du rythme imposé par les coureurs. Je fais éco à la chute du TDF etape 7, avec Vinkourov et VDB pris dedans, où le peloton roulait à fond en descente (imprudemment). Ce type d'évènement n'apparaît quasiment jamais dans le jeu. Il me semble que le risque de chute (massive ou non) devrait être proportionnelle au rythme imposé, autant en descente que sur le plat. La descente devrait pouvoir être un réel terrain où il est possible de faire la sélection, ce qui est actuellement difficilement possible.
Un exemple :
Samuel Sanchez en effort curseur 85% en descente de col = 15 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Samuel Sanchez en effort curseur 70% en descente de col = 05 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Andy Schleck en effort curseur 85% en descente de col = 25 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
Andy Schleck en effort curseur 70% en descente de col = 10 % de chance de chute (x2 si condition de pluie)
(ce ne sont pas forcément les chiffres les plus réalistes)
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Idem, gérer l'impact psychologique de ces chutes sur le peloton. Aucune incidence en fin d'étape lorsqu'il y a grande bagarre, mais que le peloton ralentisse s'il s'agit d'une étape de transition et que le coureur impliqué est un grand leader.
Un exemple :
Le peloton roule à 80 % et chute de 2 coureurs dont Samuel sanchez = ralentissement du peloton de 10 % sur les 5 prochains km.
PS : Il s'agit d'un premier jet au niveau de ma réflexion.