Rares sont les cyclistes, qui un jour dans leur vie, n’ont eu à faire face à cette terrible réalité qu’est la « fringale ». Des grands champions aux porteurs de bidons, qui peut sereinement affirmer qu’il est à l’abri d’une fringale ? Personne bien évidemment. C’est bizarre quand même qu’on en soit réduit à demander à des champions de cyclimse de « penser à manger ». C’est normalement pas le genre de choses qu’on oublie facilement, c’est comme boire ou apprendre à faire du vélo : cela ne s’oublie pas ! Apparemment si. La réalité nous le prouve régulièrement. Car ne nous y trompons pas, la fringale, elle frappe où elle veut, quand elle veut, et qui elle veut. C’est terrible mais c’est comme ça, et les conséquences sont désastreuses. Elle fait plonger le coureur dans les abîmes de la souffrance à deux roues. Bien souvent elle se déclenche à l’occasion d’un effort violent, dans les ascensions de cols principalement
Voila pourquoi je propose une alternative au GEL pas pour avoir de la résistance à un moment voulu mais, pour ne pas avoir un manque de puissance à un moment on l'on a le moins besoin...

