PCM : Points à améliorer / Suggestions

Je créé un sujet pour discuter des améliorations/évolutions possibles du jeu.
Plusieurs remarques :
- Lors des étapes classées vallonnées, lorsque la course se finit au sprint groupé, l'IA fait n'importe quoi. Elle perd ses notions tactiques. Tous les coureurs se lancent au sprint à l'aveugle à 3km de la ligne. Du coup c'est facile de manœuvrer et de l'emporter ! Il en va de même pour les sprints en côte. La Flèche est tellement facile à gagner.
- Concernant les épreuves pavés, c'est très bien d'avoir mis des difficultés au secteur pavé. Encore faut-il que l'IA l'utilise pour faire la différence. Trop souvent, les favoris sont attentistes et attendent le final pour attaquer. Ce qui permet aux sprinteurs de tirer énormément avantage dans cette configuration. L'IA devrait être plus agressive dans les secteurs les plus compliqués.
- Pour les classiques classées vallonnées, même remarque. Trop souvent les difficultés sont escamotées. Le problème c'est que le peloton règle son allure sur l'échappée. Il ne cherche pas à faire mal. Le schéma est trop linéaire. Une échappée, le peloton contrôle, roule, accélère, revient dessus et dans la dernière ou l'avant dernière difficulté ça flingue. Par exemple pour la Classica San Sebastian, il y a deux fois le Jaizkibel à escalader. Il faut que l'IA en profite pour accélérer. Au lieu de cela, les favoris attaquent seulement dans la dernière côte... il n'y a jamais de courses de mouvements..
Il faut une IA agressive qui profite des difficultés pour durcir la course.
- Pour les étapes vallonnées dans les courses par étapes, je regrette toujours que ces étapes aient un impact trop important pour le général. Je prends l'exemple du Giro où les écarts dans les étapes vallonnées prend des proportions énormes. Ca part de partout. Dans les montées, les descentes, le plat....
- Quand je parle de durcir la course, je ne parle pas de faire attaquer les leaders. C'est malheureusement trop fréquent et avec une solide équipe, c'est trop facile de gérer, contrôler et contre attaquer. Par durcir je parle d'augmenter le tempo. Que les équipiers se tuent, se sacrifient pour faire exploser le peloton. Comme l'ont fait les Sky, Katusha ou Movistar sur le Tour.
En montagne, il faudrait plus de justesse chez l'IA. Les attaques à l'aveugle des favoris à 50km de l'arrivée, non merci. Je ne veux pas des courses aseptisées non plus, mais si les favoris veulent lancer des attaques de loin, qu'ils le fassent bien : en faisant sauter le peloton avec des équipiers, en envoyant des éclaireurs à l'avant etc.
- Je trouve qu'il faut que la forme d'entrainement et le rythme aient plus d'importance. Dans ma carrière, j'ai un coureur avec 73 en montagne (forme excellente, rythme excellent), il se fait exploser par un autre qui a 77 en montagne avec une forme médiocre et aucun rythme !
- La fraicheur est une bonne invention mais reste à perfectionner. Je trouve que c'est toujours trop facile d'enchainer. J'ai déjà remporté Langkawi + Paris-Nice dans la foulée, avec aucun jour d'intervalle entre les 2...
- je n'arrive toujours pas à voir l'impact concret de la note de récup. Je vois bien l'impact de la fraicheur sur les différentes barres, mais pas celles de la récup sur la fraicheur. J'ai mis 80 en récup à Cavendish. Pourtant en fin de Tour, il a moins de fraicheur que Westra qui a 60 en récup...
J'ai fait une carrière test. J'ai mis les mêmes notes à deux coureurs, l'un avait 85 en récup, l'autre 70. La différence sur 3 semaines a été infime entre les 2 coureurs. J'ai surtout l'impression que ce sont les efforts consentis sur les étapes qui impactent le niveau de fraicheur, pas la récup...
- Enfin les collisions. J'aime le concept. Mais quand je vois que la sélection sur des courses comme le Tour des Flandres, l'Amstel ou la Doyenne se fait en bonne partie avec les collisions, je me pose des questions. Quand je dois attendre 3km pour pouvoir réagir à une attaque en montagne, c'est qu'il y a un problème...
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Merci de vos retours
Plusieurs remarques :
- Lors des étapes classées vallonnées, lorsque la course se finit au sprint groupé, l'IA fait n'importe quoi. Elle perd ses notions tactiques. Tous les coureurs se lancent au sprint à l'aveugle à 3km de la ligne. Du coup c'est facile de manœuvrer et de l'emporter ! Il en va de même pour les sprints en côte. La Flèche est tellement facile à gagner.
- Concernant les épreuves pavés, c'est très bien d'avoir mis des difficultés au secteur pavé. Encore faut-il que l'IA l'utilise pour faire la différence. Trop souvent, les favoris sont attentistes et attendent le final pour attaquer. Ce qui permet aux sprinteurs de tirer énormément avantage dans cette configuration. L'IA devrait être plus agressive dans les secteurs les plus compliqués.
- Pour les classiques classées vallonnées, même remarque. Trop souvent les difficultés sont escamotées. Le problème c'est que le peloton règle son allure sur l'échappée. Il ne cherche pas à faire mal. Le schéma est trop linéaire. Une échappée, le peloton contrôle, roule, accélère, revient dessus et dans la dernière ou l'avant dernière difficulté ça flingue. Par exemple pour la Classica San Sebastian, il y a deux fois le Jaizkibel à escalader. Il faut que l'IA en profite pour accélérer. Au lieu de cela, les favoris attaquent seulement dans la dernière côte... il n'y a jamais de courses de mouvements..
Il faut une IA agressive qui profite des difficultés pour durcir la course.
- Pour les étapes vallonnées dans les courses par étapes, je regrette toujours que ces étapes aient un impact trop important pour le général. Je prends l'exemple du Giro où les écarts dans les étapes vallonnées prend des proportions énormes. Ca part de partout. Dans les montées, les descentes, le plat....
- Quand je parle de durcir la course, je ne parle pas de faire attaquer les leaders. C'est malheureusement trop fréquent et avec une solide équipe, c'est trop facile de gérer, contrôler et contre attaquer. Par durcir je parle d'augmenter le tempo. Que les équipiers se tuent, se sacrifient pour faire exploser le peloton. Comme l'ont fait les Sky, Katusha ou Movistar sur le Tour.
En montagne, il faudrait plus de justesse chez l'IA. Les attaques à l'aveugle des favoris à 50km de l'arrivée, non merci. Je ne veux pas des courses aseptisées non plus, mais si les favoris veulent lancer des attaques de loin, qu'ils le fassent bien : en faisant sauter le peloton avec des équipiers, en envoyant des éclaireurs à l'avant etc.
- Je trouve qu'il faut que la forme d'entrainement et le rythme aient plus d'importance. Dans ma carrière, j'ai un coureur avec 73 en montagne (forme excellente, rythme excellent), il se fait exploser par un autre qui a 77 en montagne avec une forme médiocre et aucun rythme !
- La fraicheur est une bonne invention mais reste à perfectionner. Je trouve que c'est toujours trop facile d'enchainer. J'ai déjà remporté Langkawi + Paris-Nice dans la foulée, avec aucun jour d'intervalle entre les 2...
- je n'arrive toujours pas à voir l'impact concret de la note de récup. Je vois bien l'impact de la fraicheur sur les différentes barres, mais pas celles de la récup sur la fraicheur. J'ai mis 80 en récup à Cavendish. Pourtant en fin de Tour, il a moins de fraicheur que Westra qui a 60 en récup...
J'ai fait une carrière test. J'ai mis les mêmes notes à deux coureurs, l'un avait 85 en récup, l'autre 70. La différence sur 3 semaines a été infime entre les 2 coureurs. J'ai surtout l'impression que ce sont les efforts consentis sur les étapes qui impactent le niveau de fraicheur, pas la récup...
- Enfin les collisions. J'aime le concept. Mais quand je vois que la sélection sur des courses comme le Tour des Flandres, l'Amstel ou la Doyenne se fait en bonne partie avec les collisions, je me pose des questions. Quand je dois attendre 3km pour pouvoir réagir à une attaque en montagne, c'est qu'il y a un problème...
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Merci de vos retours