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Ca me semble déjà plus clair mais pourquoi prendre les résultats sur 2 années ?

Généralement quand on fait un classement mondial dans un sport c'est pour savoir qui est le meilleur sur l'année X, pas savoir qui est le meilleur sur 2 ans ?

C'est ridicule... Ils pourraient avoir un bareme simple, comme dans le tennis par exemple, qui irait des points accordes au vainqueur du tour de France (genre 800) aux points attribues au troisieme d'un petit tour de categorie 2.2 (genre 5 points), avec toute une gradation des grandes classiques au petites courses continental.. ce serait le meme bareme, connu de tous, c'est juste que les equipes World Tour seraient automatiquement qualifiees pour les grandes epreuves contrairement aux plus petites equipes, et on aurait un classement un peu comme en foot, separant le World Tour (classements individuels et par equipe) et les circuits continentaux (leurs propres classements).

Avec un dispositif simple comme ca, lisible, tu aurais des classements faciles a suivre et plus legitimes. un mec comme Voeckler cumulerait de maniere claire ses points continentaux et World...

mais non, autant faire un truc complique avec des bonus inverses en racine carree de l'anne n-1...

Le fait d'étaler sur 2 ans permet éventuellement à une équipe ayant réalisé de mauvais résultats sur l'année écoulée mais de bons l'année d'avant de rester en World Tour

Mais je crois qu'en fait faut pas se prendre la tête avec ça. Europcar n'en a rien à cirer d'être en World Tour par exemple. Ce qui les interesse c'est de faire le Tour, le Dauphiné, Paris-Nice et le calendrier HC et .1 en France, ce qu'il sont assurés de faire grace aux invitations. Le reste n'a aucune importance, le World Tour ne sert à rien...

c'est juste que plus d'equipes francaises en World Tour permet a plus de Francais de faire les grandes courses, et permet a plus d'equipes francaises d'avoir acces au tour de france en etant invites par l'organisation. Bretagne Schuller aurait pu etre invitee par exemple.

Et d'un coté si Europcar était en WorldTour, je me demande qui ils enverraient au Giro et à la Vuelta

Ils perdraient plus de points en étant en WorldTour qu'en Continental à mon avis car pendant qu'un tier de l'équipe ne gagne pas de point lors du Giro (en points UCI et en points du barème), ils ne gagneront quasi pas de points sur les autres petites courses car l'équipe n'est pas au complète et ne pourrait pas jouer sur tous les fronts comme ils le font maintenant.

Même chose par la FDJ et Cofidis je crois.

Comme on le lit souvent, le WorldTour est fait pour les équipes ayant un bon budget et ayant un effectif capable de faire des choses durant toute l'année même si l'aspect financier est privilégié ici.... ce qui n'est pas le cas pour plusieurs équipes françaises.

Romain Sicard ne va pas mieux et manquera la VUelta

Andrea Pinarello est décédé ce mercredi sur le Tour du Frioul-Véténie julienne, auquel il participait en tant que coureur. Il était le fils de Giovanni Pinarello, créateur de l’entreprise de cycles du même nom, laquelle fournit en matériel les équipes Movistar et Sky. L’Italien a été victime d’une crise cardiaque après la première étape, à l’âge de quarante ans. L’an dernier, cette même épreuve avait été endeuillée par le décès accidentel de Thomas Casarotto. Velochrono adresse ses condoléances à la famille et les proches du défunt.

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RIP

je suis désespéré par toutes ces victimes du vélo cette année.
On dirait que ce sport est dangereux au point de craindre chaque étape.La malédiction ne s’arrête toujours pas.

Une nouvelle moins triste (en tout cas les pro-contador), Contador sera bel et bien imbattable l'année prochaine en montagne. Andy veut travailler comme un dératé le chrono, qui dit travailler le chrono quand on s'appelle Schleck dit forcément prise de poids trop intensive et baisse de performance en montagne. Le "compromis" il ne le trouvera jamais, ils s'y sont tous essayés et ça n'a jamais marché.


Andy va s'y mettre

Au détour d'un critérium en Belgique, Andy Schleck est revenu sur son Tour de France et sur ce qui lui a fait défaut pour enfin ramener le maillot jaune à Paris. Pour le Luxembourgeois, les choses sont simples: il doit impérativement progresser dans les chronos. Il va faire le nécessaire.

Avant le Tour de France 2011, Andy Schleck avait assuré qu'il avait beaucoup progressé dans l'exercice du contre-la-montre. C'est en partie vrai. En terminant 17e du chrono de Grenoble remporté par Tony Martin la veille de l'arrivée à Paris, le Luxembourgeois n'a pas été ridicule. Ce fut même un de ses meilleurs chronos sur le Tour. Le problème, c'est qu'au-delà de la place, il a perdu deux minutes trente sur Cadel Evans ce jour-là, et par la même occasion le maillot jaune et le Tour de France.

Si progression il y a eu, elle n'est donc pas suffisante pour franchir la dernière marche. "Nous avions effectué des tests avec l'équipe pour améliorer mes performances dans le chrono, mais ce n'était visiblement pas suffisant, a-t-il admis. Le constat, c'est que j'ai perdu le Tour à la veille de l'arrivée." Conscient de cette lacune, le cadet des Schleck a décidé de s'investir beaucoup plus sérieusement dans ce domaine. Alors qu'il participait à un critérium à Anvers, mercredi, Andy Schleck est revenu sur son Tour de France et surtout sur son échec lors du chrono décisif. "Si je veux un jour gagner le Tour de France, je vais devoir m'améliorer en contre-la-montre", a-t-il estimé devant les journalistes belges.

"Trouver le bon compromis"

Une prise de conscience sans doute salutaire, d'autant que le coureur de Leopard Trek ne bénéficiera peut-être pas chaque année d'un Tour de France aux petits oignons avec quatre arrivées au sommet en hors catégorie et un seul contre-la-montre, comme c'était le cas cette année. Dans l'optique du Tour 2012, afin de s'éviter une nouvelle frustration et une quatrième deuxième place consécutive, Andy promet donc de mettre le paquet sur le chrono. Outre l'aspect technique, son évolution passera sans doute aussi par une modification corporelle. Très longiligne (il pèse moins de 70 kilos pour 1,85m), il souhaite devenir un peu plus lourd. "J'aimerais gagner en puissance", explique-t-il.

Mais il le sait, s'engager sur cette voie n'a pas que des avantages. "Je dois faire attention si je gagne en puissance, note Andy. Une plus grande masse musculaire impliquera aussi que je sois plus lourd. Dans les ascensions, ça se ressent." Ne plus faire du contre-la-montre son point faible tout en préservant ses aptitudes naturelles en montagne, tel est le défi du Luxembourgeois. "Je vais devoir trouver le bon compromis", concède Andy. Celui qu'il n'a pas encore réussi à dénicher pour remporter, enfin, le Tour de France. De toute façon, la formule actuelle ne fonctionne pas. Autant essayer autre chose.

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