
El partido de esta noche entra las Rojas ha demostrado que un partido de futbol no puede ser de una duracion de 90 minutos en todo momento.
Effectivement, les Espagnols et les Chiliens nous ont montré qu'un match ne durent pas forcément 90 minutes. Ici, ce fut plutôt 70 minutes. Mais, d'après ce que j'ai vu dans les résumés, la pauvreté du match entre la Suisse et le Honduras faisait penser assez tôt que le nul blanc était inévitable entre ces deux formations. Comme quoi, j'avais bien senti que les Helvètes n'avaient pas vraiment les moyens de scorer des masses des masses.
Mais pour en revenir au match entre les deux Rojas, le Chili a bien entamé le match, et semblait même en mesure de prendre... et bien la mesure de l'Espagne! Une sortie très mal calculée de Bravo face à Torrès, pourtant sur le flanc et avec encore un défenseur à ses trousses, aura donc permit à Villa de se retrouver avec Jabulani dans les pieds et de marquer le but qui lui permet désormais d'être le meilleur artificier espagnol en Coupe du Monde, avec 6 buts. Par la suite, le Chili a commencé à se désorganiser, commettant beaucoup de fautes et d'errements défensifs aboutissants au second but, marqué par Iniesta.
Alors, il est certain qu'Estrada n'a pas commit de faute sur Torrès lors de cette phase, vu qu'il ne le voyait pas, mais il aurait déjà pu écoper de sa seconde carte jaune quelques minutes plus tôt. Il va d'ailleurs y avoir quelques petits problèmes de remaniement d'équipe pour le match face au Brésil, avec les suspensions cumulées d'Estrada, Medel et Ponce.
Le Chili est tout de même bien revenu dans la partie en début de seconde période, grâce aux remplaçants du club de Colo Colo, avec notamment le but de Millar. Ensuite, des débats assez équilibrés entre les deux équipes avant qu'on ne se décide tout simplement à arrêter de joueur, de part et d'autre, afin d'entériner ce résultat qui a finalement bien arrangé les deux équipes.