
Le suite de la présentation de ce Giro, avec la découverte de la première partie des favoris:

Voici LE grand favori de ce Giro, mais aussi sa plus grosse surprise. En effet, personne ne s'attendait à voir le Batave ici, surtout que son grand objectif est le Tour. Venu certainement en conquète de confiance (et peut-être d'un premier GT), que peut faire le leader de la Rabobank? Il ne se cantonnera certainement pas à un rôle de figurant, mais vu le nombre de coureurs qui eux, sont venus pour gagner, ce ne sera pas partie gagnée d'avance...

Lui aussi c'est une surprise. Alors que le profil du TDF semblait correspondre parfaitement à ses capacités, le requin de Messine a fait le choix de venir sur son tour national. Mais une inconnue persiste: est-il venu pour gagner, où pour, comme Gesink, prendre de la confiance pour le TDF et faire l'équipier de Basso (également présent)? On aura un début de réponse à la fin de la première semaine.

Coup de bluff? Après une saison de classiques excellente (2e LBL, victoire au Tour de Romandie), personne n'avait imaginé que le petit prince ne ferait le crochet par son tour national, et enlèverai ainsi le leadership à Scarponi. Mais attention: comme il l'a prouvé par le passé, et malgré son nombre de jours de course important (40!), le vénitien ne doit pas être pris à la lègère, surtout quand ça monte...

Une surprise de plus, une! En effet, qui aurait parié sur une présence de Valverde au Giro? Personne. Alors qu'il sort d'une bonne première moitié de saison (2e en Catalogne et au Pays Basque, victoire à la Flèche Wallone...), tous les connaiseurs pensaient que le leader de la Movistar se reposerait et serait un candidat au maillot jaune sur le Tour. Et bien non! Mais sur un Giro qui semble un petit peu trop montagneux pour ses capacités, le coureur espagnol pourra t-il résiter?

Et si c'était lui, le plus affuté? Entre les leaders venus pour rien faire, et ceux qui semblent crâmés, le danois est le seul qui semble prêt pour ce Giro. En plus, les trois premières étapes se passant chez lui, le leader de la Radioshack aura coeur à bien faire. Et pourquoi il ne pourrait pas gagner? Peut-être à cause des vallons, où le danois accuse un lèger déficit (dans les notes) sur Valverde et consorts...

Attention, car lui il faudra le lâcher en montagne! Revenu sur des terres qui lui ont réussi par le passé, le russe sera L'homme à surveiller. Discret en montagne mais efficace, le leader de la Katusha attendra certainement la dernière étape et le CLM à Milan pour sortir de sa boîte. Et ça pourra faire mal...

Et si finalement Nibali travaillerait pour lui? En effet, l'Italien n'aura rien à perdre sur un Giro qu'il a gagné en 2010. Mais façe aux "jeunos", l'âge de l'italien semble être son point faible. Ou peut-être son point fort...

La grosse inconue. Capable du mieux (victoire après 100 km d'échappée au tour de Romandie) comme du pire (lâché sur les premiers hectomètres à LBL), le flandrien arrive dans le flou. Mais le désormais 4e du TDF en 2010 nous a quand même habitué au mieux depuis quelques années, alors attention à lui...

Attention à lui. En effet, l'italien arrive à bloc sur ce Giro. Et il a deux possibilités. Une: il travaille pour Cunego et lâche la moitié du peloton dans les ascencions. Deux: c'est le leader et il se présente comme un des "gros" favoris. Dans tous les cas, il est gagnant. Il ne lui manque plus qu'à finaliser...

Mais que peut-il faire? Souvent désigné comme favori dans les GT, le Tchèque arrive rarement à finaliser. Bon quand ça monte, pas maladroit en CLM, le coureur d'Astana à toutes les cartes en main, à moins que son jeu ne vaut rien, mais ça, on s'en rendra rapidement compte...

Voici LE grand favori de ce Giro, mais aussi sa plus grosse surprise. En effet, personne ne s'attendait à voir le Batave ici, surtout que son grand objectif est le Tour. Venu certainement en conquète de confiance (et peut-être d'un premier GT), que peut faire le leader de la Rabobank? Il ne se cantonnera certainement pas à un rôle de figurant, mais vu le nombre de coureurs qui eux, sont venus pour gagner, ce ne sera pas partie gagnée d'avance...

Lui aussi c'est une surprise. Alors que le profil du TDF semblait correspondre parfaitement à ses capacités, le requin de Messine a fait le choix de venir sur son tour national. Mais une inconnue persiste: est-il venu pour gagner, où pour, comme Gesink, prendre de la confiance pour le TDF et faire l'équipier de Basso (également présent)? On aura un début de réponse à la fin de la première semaine.

Coup de bluff? Après une saison de classiques excellente (2e LBL, victoire au Tour de Romandie), personne n'avait imaginé que le petit prince ne ferait le crochet par son tour national, et enlèverai ainsi le leadership à Scarponi. Mais attention: comme il l'a prouvé par le passé, et malgré son nombre de jours de course important (40!), le vénitien ne doit pas être pris à la lègère, surtout quand ça monte...

Une surprise de plus, une! En effet, qui aurait parié sur une présence de Valverde au Giro? Personne. Alors qu'il sort d'une bonne première moitié de saison (2e en Catalogne et au Pays Basque, victoire à la Flèche Wallone...), tous les connaiseurs pensaient que le leader de la Movistar se reposerait et serait un candidat au maillot jaune sur le Tour. Et bien non! Mais sur un Giro qui semble un petit peu trop montagneux pour ses capacités, le coureur espagnol pourra t-il résiter?

Et si c'était lui, le plus affuté? Entre les leaders venus pour rien faire, et ceux qui semblent crâmés, le danois est le seul qui semble prêt pour ce Giro. En plus, les trois premières étapes se passant chez lui, le leader de la Radioshack aura coeur à bien faire. Et pourquoi il ne pourrait pas gagner? Peut-être à cause des vallons, où le danois accuse un lèger déficit (dans les notes) sur Valverde et consorts...

Attention, car lui il faudra le lâcher en montagne! Revenu sur des terres qui lui ont réussi par le passé, le russe sera L'homme à surveiller. Discret en montagne mais efficace, le leader de la Katusha attendra certainement la dernière étape et le CLM à Milan pour sortir de sa boîte. Et ça pourra faire mal...

Et si finalement Nibali travaillerait pour lui? En effet, l'Italien n'aura rien à perdre sur un Giro qu'il a gagné en 2010. Mais façe aux "jeunos", l'âge de l'italien semble être son point faible. Ou peut-être son point fort...

La grosse inconue. Capable du mieux (victoire après 100 km d'échappée au tour de Romandie) comme du pire (lâché sur les premiers hectomètres à LBL), le flandrien arrive dans le flou. Mais le désormais 4e du TDF en 2010 nous a quand même habitué au mieux depuis quelques années, alors attention à lui...

Attention à lui. En effet, l'italien arrive à bloc sur ce Giro. Et il a deux possibilités. Une: il travaille pour Cunego et lâche la moitié du peloton dans les ascencions. Deux: c'est le leader et il se présente comme un des "gros" favoris. Dans tous les cas, il est gagnant. Il ne lui manque plus qu'à finaliser...

Mais que peut-il faire? Souvent désigné comme favori dans les GT, le Tchèque arrive rarement à finaliser. Bon quand ça monte, pas maladroit en CLM, le coureur d'Astana à toutes les cartes en main, à moins que son jeu ne vaut rien, mais ça, on s'en rendra rapidement compte...
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