
A venir, un nouveau dossier, celui sur les jeunes grimpeurs, les purs grimpeurs. Mais avant, le point sur les championnats de Etats-Unis. Sur le chrono, Phinney(PHO) conserve son titre. Sur la course en ligne, Van Gerderen conserve lui aussi son titre en remportant son quatrième titre consécutif.
DOSSIER JEUNE GRIMPEUR
Je vous avez déjà fait les coureurs de pavé et les puncheurs. Maintenant, après ce Giro montagneux, place aux coureurs qui aiment quand sa grimpe sans être des spécialistes des chrono, des purs grimpeurs quoi. Voici donc une liste des coureurs de 24 ans ou moins, ayant 70 ou plus en montagne et 64 ou moins en contre la montre:

Le premier, Matus Macak, on en a déjà parlé sur le dossier puncheur. Et c'est en montagne qu'il est le plus impressionnant à l'heure actuel. Amateur en 2011, TV Nova, ex Dukla Trencin Merida, a bien fait de l'engager. Mais sa risque d'être dur de le conserver à la fin de la saison, il pourrai attirer bon nombre de formation.
Direction l'Italie et Nonnato pour le second coureur, peut-être successeur à Pantani. Amateur en 2014, il dispute sa première année professionnelle chez Ora Hotels Carrera qui a fait le choix de l'engager. Déjà douzième de tour de Turquie, son équipe va pouvoir en profiter jusqu'en 2016 avant de le voir sans doute partir, si il confirme le bien qu'on pense de lui.
Numéro 1 mondial en 2013, Köszegi a directement débuté en World Tour à la Deutsche Bank. Et dès sa première saison, il se faisait remarquer avec le titre sur son championnat national. Cette saison, on la déjà vu à l’œuvre sur des courses Pro tour et on devrai encore le voir pour l'un des meilleurs jeunes grimpeur qui a encore un peu de mal à progresser.
Le suivant vient de finir meilleur grimpeur du Giro et cours aussi chez Deutsche Bank depuis 2013: Schulz. Et c'est bien un pur grimpeur car il enchaine les victoires dans les classements de la montagne. Son rêve? Un maillot à poids à Paris, il la dit. Et on ne doute pas qu'il puisse y arriver.
Les italiens ont souvent eut de grand grimpeurs et Mero pourraient en être. Il débute en 2013 chez De Rosa – Ceramica Flaminia mais peine à faire des résultats. A 23 ans, il a encore un peu de temps pour confirmer les espoirs placés en lui, mais il ne faudrait pas trop tarder quand même.
L'Autriche n'est pas à plaindre non plus avec un second classé Roth. Amateur en 2014, il commence sa carrière cette saison dans une équipe de son pays, le Rc Arbö – Gourmetfrein Wels. Au bout de cinq mois, pas surprenant qu'il n'est pas fait de résultat et on ne doute pas qu'il devrait bientôt en avoir.
Direction l'Espagne maintenant et Etxebarria, un basque comme son nom l'indique. Et comme beaucoup de basque, il débute chez l'équipe ''réserve'' de Euskatel, Orbea. Il y fait ses classes et rêve bien sur d'intégrer l'équipe première pour se frotter aux meilleurs.
Des grimpeurs néo-zélandais, c'est assez rare et Grim en est un. Et ce grimpeur ne veut pas raconter de compte mais bien s'imposer. Il la déjà fait avec PureBlack Racing, l'équipe de ses débuts qu'il a rejoint en 2012. Mais depuis cette saison il a rejoint l'Europe et la formation Alicante Frutas, ex Subway pour se montrer en Europe. A 22ans, il a l'avenir devant lui.
Doreste la un peu moins. Mais il n'est qu'à sa première année professionnelle, chez Spanair, ex KTM – Murcia, après une bonne année 2014 chez les amateurs. Son équipe le couve et ne la pas encore aligner cette saison, mais il faudra s'en méfier quand il reprendra la compétition.
Aru a lui déjà repris sa saison et même disputer le Giro ou il a aider Visconti comme il a put. Des débuts amateur en 2011 l'ont emmené vers Colnago – CSF Inox qu'il vient de quitter cette saison. Et vu le peu de grimpeur chez Farnese Vini, il pourrait, si il progresse, se voir attribuer une place de leader sur un grand tour.
Attention, UnitedHealthcare envoie un héros, Bateman. Ce dernier vient lui aussi d'arriver dans cette équipe. Il a débuté en 2012 chez la Leopard mais na pas sut convaincre ses dirigeants de le prolonger. Espérons pour lui que ce nouveau challenge lui permette de lancer réellement sa carrière au plus haut niveau.
Et si Budgen succéder à Evans sur le podium d'un tour. En attendant, il s’épanouit dans les équipes australienne, qu'il a presque toutes visités. Début en 2013 chez team Jayco Ais pour signer cette saison chez Australia Tea. Reste V Australia et il aura fait les trois. A moins qu'il court-circuite pour signer directement dans une équipe de premier plan.
L'Estonie connait Taaramae et pourrait découvrir Kurjanov, jeune grimpeur estonien. Lui aussi n'en est qu'à sa première saison pro au Partizan Power Move. Une petite équipe pour débuter, à lui de tout faire pour rejoindre une grosse formation à la fin de son contrat.
Coté français, on espère beaucoup de Bienaimé pour être, pourquoi pas, le nouveau Virenque. En tout cas, Saur mise sur lui en le recrutant après son année amateur en 2013. Maintenant, il ne lui reste plus qu'à montrer qu'ils ont bien fait car les résultats ne sont pas encore là. A lui d'ouvrir son palmarès pour se montrer aux yeux du peloton.
Le deuxième allemand se nomme Hecht et pointe aux portes du monde professionnel. En effet, il court chez les amateurs cette saison et espère réussir à se montrer pour intégrer le peloton professionnel. De source sure, certaines équipes allemandes seraient déjà sur les rangs pour embaucher ce grimpeur prometteur.
Vinokourov, Kivilev, il y a une culture de coureur de tour au Kazakhstan et Shkvyrin n'échappe pas à la règle, même si il doit progresser en contre la montre et récupération. Mais pour cette saison, il est un adversaire du précédent, Hecht, chez les amateurs. Et on ne doute pas qu'il rêve d'Astana pour intégrer le monde professionnel.
Butelschii est peut-être le nouvel adversaire de Piluschin en Moldavie, mais pas dans le même domaine. Quand le second est plutôt flandrien, lui mise plutôt sur la montagne. Surtout qu'il a quelques dispositions pour la descente qui pourraient lui servir. En attendant, il fait le bonheur de Geumsang Ginseng Asia en continental depuis 2014, et souhaite bientôt franchir un échelon, pourquoi pas à la fin de la saison car son contrat se termine à ce moment.
Gesink excelle en montagne tout comme Ruygh ou Kruiswijk et van Ingen s'annonce prometteur pour la génération suivante de hollandais. Rabobank ne s'est pas trompé en le recrutant en début de saison. Enfin pas l'équipe world tour, la continental avant pour faire ses classes, comme beaucoup d'autre.
Des norvégiens qui grimpent, c'est plus rare mais c'est pourtant le point fort de Ole Nyhus la montagne. Et c'est une équipe norvégienne qui la découvert il y a trois ans, Plussbank Cervélo. Maintenant, à lui de continuer pour être remarqué par d'autres équipes d'autres pays et surtout, plus prestigieuse pour lancer sa carrière.
Enfin, on finit avec un américain au prénom très évocateur et avec comme nom Brenin. Le passage au monde pro ne la pas perturbé et il a bien augmenté son endurance et sa résistance pour s'adapter. Et les grosses écuries ne se sont pas trompés car c'est HTC qui a été l'embaucher en 2012. Et si il est partit, c'est à cause de la RadioShack qui a réussit à le convaincre. Bref, une belle pépite américaine qui ne demande qu'à éclore.
Voilà pour ce dossier ou l'on retrouve deux de nos coureurs. Mais quand est-il du top niveau mondial? Réponse en passant la limite à 65 ou moins en contre la montre:

DOSSIER JEUNE GRIMPEUR
Je vous avez déjà fait les coureurs de pavé et les puncheurs. Maintenant, après ce Giro montagneux, place aux coureurs qui aiment quand sa grimpe sans être des spécialistes des chrono, des purs grimpeurs quoi. Voici donc une liste des coureurs de 24 ans ou moins, ayant 70 ou plus en montagne et 64 ou moins en contre la montre:

Le premier, Matus Macak, on en a déjà parlé sur le dossier puncheur. Et c'est en montagne qu'il est le plus impressionnant à l'heure actuel. Amateur en 2011, TV Nova, ex Dukla Trencin Merida, a bien fait de l'engager. Mais sa risque d'être dur de le conserver à la fin de la saison, il pourrai attirer bon nombre de formation.
Direction l'Italie et Nonnato pour le second coureur, peut-être successeur à Pantani. Amateur en 2014, il dispute sa première année professionnelle chez Ora Hotels Carrera qui a fait le choix de l'engager. Déjà douzième de tour de Turquie, son équipe va pouvoir en profiter jusqu'en 2016 avant de le voir sans doute partir, si il confirme le bien qu'on pense de lui.
Numéro 1 mondial en 2013, Köszegi a directement débuté en World Tour à la Deutsche Bank. Et dès sa première saison, il se faisait remarquer avec le titre sur son championnat national. Cette saison, on la déjà vu à l’œuvre sur des courses Pro tour et on devrai encore le voir pour l'un des meilleurs jeunes grimpeur qui a encore un peu de mal à progresser.
Le suivant vient de finir meilleur grimpeur du Giro et cours aussi chez Deutsche Bank depuis 2013: Schulz. Et c'est bien un pur grimpeur car il enchaine les victoires dans les classements de la montagne. Son rêve? Un maillot à poids à Paris, il la dit. Et on ne doute pas qu'il puisse y arriver.
Les italiens ont souvent eut de grand grimpeurs et Mero pourraient en être. Il débute en 2013 chez De Rosa – Ceramica Flaminia mais peine à faire des résultats. A 23 ans, il a encore un peu de temps pour confirmer les espoirs placés en lui, mais il ne faudrait pas trop tarder quand même.
L'Autriche n'est pas à plaindre non plus avec un second classé Roth. Amateur en 2014, il commence sa carrière cette saison dans une équipe de son pays, le Rc Arbö – Gourmetfrein Wels. Au bout de cinq mois, pas surprenant qu'il n'est pas fait de résultat et on ne doute pas qu'il devrait bientôt en avoir.
Direction l'Espagne maintenant et Etxebarria, un basque comme son nom l'indique. Et comme beaucoup de basque, il débute chez l'équipe ''réserve'' de Euskatel, Orbea. Il y fait ses classes et rêve bien sur d'intégrer l'équipe première pour se frotter aux meilleurs.
Des grimpeurs néo-zélandais, c'est assez rare et Grim en est un. Et ce grimpeur ne veut pas raconter de compte mais bien s'imposer. Il la déjà fait avec PureBlack Racing, l'équipe de ses débuts qu'il a rejoint en 2012. Mais depuis cette saison il a rejoint l'Europe et la formation Alicante Frutas, ex Subway pour se montrer en Europe. A 22ans, il a l'avenir devant lui.
Doreste la un peu moins. Mais il n'est qu'à sa première année professionnelle, chez Spanair, ex KTM – Murcia, après une bonne année 2014 chez les amateurs. Son équipe le couve et ne la pas encore aligner cette saison, mais il faudra s'en méfier quand il reprendra la compétition.
Aru a lui déjà repris sa saison et même disputer le Giro ou il a aider Visconti comme il a put. Des débuts amateur en 2011 l'ont emmené vers Colnago – CSF Inox qu'il vient de quitter cette saison. Et vu le peu de grimpeur chez Farnese Vini, il pourrait, si il progresse, se voir attribuer une place de leader sur un grand tour.
Attention, UnitedHealthcare envoie un héros, Bateman. Ce dernier vient lui aussi d'arriver dans cette équipe. Il a débuté en 2012 chez la Leopard mais na pas sut convaincre ses dirigeants de le prolonger. Espérons pour lui que ce nouveau challenge lui permette de lancer réellement sa carrière au plus haut niveau.
Et si Budgen succéder à Evans sur le podium d'un tour. En attendant, il s’épanouit dans les équipes australienne, qu'il a presque toutes visités. Début en 2013 chez team Jayco Ais pour signer cette saison chez Australia Tea. Reste V Australia et il aura fait les trois. A moins qu'il court-circuite pour signer directement dans une équipe de premier plan.
L'Estonie connait Taaramae et pourrait découvrir Kurjanov, jeune grimpeur estonien. Lui aussi n'en est qu'à sa première saison pro au Partizan Power Move. Une petite équipe pour débuter, à lui de tout faire pour rejoindre une grosse formation à la fin de son contrat.
Coté français, on espère beaucoup de Bienaimé pour être, pourquoi pas, le nouveau Virenque. En tout cas, Saur mise sur lui en le recrutant après son année amateur en 2013. Maintenant, il ne lui reste plus qu'à montrer qu'ils ont bien fait car les résultats ne sont pas encore là. A lui d'ouvrir son palmarès pour se montrer aux yeux du peloton.
Le deuxième allemand se nomme Hecht et pointe aux portes du monde professionnel. En effet, il court chez les amateurs cette saison et espère réussir à se montrer pour intégrer le peloton professionnel. De source sure, certaines équipes allemandes seraient déjà sur les rangs pour embaucher ce grimpeur prometteur.
Vinokourov, Kivilev, il y a une culture de coureur de tour au Kazakhstan et Shkvyrin n'échappe pas à la règle, même si il doit progresser en contre la montre et récupération. Mais pour cette saison, il est un adversaire du précédent, Hecht, chez les amateurs. Et on ne doute pas qu'il rêve d'Astana pour intégrer le monde professionnel.
Butelschii est peut-être le nouvel adversaire de Piluschin en Moldavie, mais pas dans le même domaine. Quand le second est plutôt flandrien, lui mise plutôt sur la montagne. Surtout qu'il a quelques dispositions pour la descente qui pourraient lui servir. En attendant, il fait le bonheur de Geumsang Ginseng Asia en continental depuis 2014, et souhaite bientôt franchir un échelon, pourquoi pas à la fin de la saison car son contrat se termine à ce moment.
Gesink excelle en montagne tout comme Ruygh ou Kruiswijk et van Ingen s'annonce prometteur pour la génération suivante de hollandais. Rabobank ne s'est pas trompé en le recrutant en début de saison. Enfin pas l'équipe world tour, la continental avant pour faire ses classes, comme beaucoup d'autre.
Des norvégiens qui grimpent, c'est plus rare mais c'est pourtant le point fort de Ole Nyhus la montagne. Et c'est une équipe norvégienne qui la découvert il y a trois ans, Plussbank Cervélo. Maintenant, à lui de continuer pour être remarqué par d'autres équipes d'autres pays et surtout, plus prestigieuse pour lancer sa carrière.
Enfin, on finit avec un américain au prénom très évocateur et avec comme nom Brenin. Le passage au monde pro ne la pas perturbé et il a bien augmenté son endurance et sa résistance pour s'adapter. Et les grosses écuries ne se sont pas trompés car c'est HTC qui a été l'embaucher en 2012. Et si il est partit, c'est à cause de la RadioShack qui a réussit à le convaincre. Bref, une belle pépite américaine qui ne demande qu'à éclore.
Voilà pour ce dossier ou l'on retrouve deux de nos coureurs. Mais quand est-il du top niveau mondial? Réponse en passant la limite à 65 ou moins en contre la montre:
