Présentation 2012 (post-Htc) | Androni

je n'ai pas encore PCM 2011 mais ça ne saurait tarder et je melance dans un petit récit imaginaire, avant de lancer le grand
J’me présente : Je m’appelle Clément Girault et je suis né le 12 juin 1992, je vis à Blois (dans le Loir-et-Cher) et fais du cyclisme depuis 2 ans. C’est mon petit frère, Josselin, qui m’a donné envie d’en faire. Il en fait depuis ses 8 ans et en a aujourd’hui 15.
On fait tous les deux la section sport-étude du lycée. On est tous les deux en junior, mais l’an passé, en cadet, il trustait tout, il pouvait mettre un tour à tout le monde sur un petit circuit. Champion départemental, régional et… national. Une vraie petite bombe. Dans quelques années, il pourra passer pro, il est tellement énorme au sprint et dans les petites cotes…
Moi, il me battait l’année dernière, mais l’écart d’âge est devenu un facteur important entre nous deux, maintenant que j’ai un bon niveau. ; et puis les grosses montées, qu’on commence à faire en junior, c’est pas son truc. Mais quand ça descend, on ne le voit plus, et il a déjà réussi à faire déconner son compteur parce qu’il allait trop vite… (« du 112 dans une descente ? T’étais pas à fond ? ») Je suis un des seuls capable de le suivre, et encore.
J’me présente : Je m’appelle Clément Girault et je suis né le 12 juin 1992, je vis à Blois (dans le Loir-et-Cher) et fais du cyclisme depuis 2 ans. C’est mon petit frère, Josselin, qui m’a donné envie d’en faire. Il en fait depuis ses 8 ans et en a aujourd’hui 15.
On fait tous les deux la section sport-étude du lycée. On est tous les deux en junior, mais l’an passé, en cadet, il trustait tout, il pouvait mettre un tour à tout le monde sur un petit circuit. Champion départemental, régional et… national. Une vraie petite bombe. Dans quelques années, il pourra passer pro, il est tellement énorme au sprint et dans les petites cotes…
Moi, il me battait l’année dernière, mais l’écart d’âge est devenu un facteur important entre nous deux, maintenant que j’ai un bon niveau. ; et puis les grosses montées, qu’on commence à faire en junior, c’est pas son truc. Mais quand ça descend, on ne le voit plus, et il a déjà réussi à faire déconner son compteur parce qu’il allait trop vite… (« du 112 dans une descente ? T’étais pas à fond ? ») Je suis un des seuls capable de le suivre, et encore.