La dernière rumeur en date qui circule au sein du petit monde du cyclisme professionnel est la pratique possible d'un nouveau doping : pas chimique, mais technologique. Pas sur l'homme, mais sur le vélo.
Cette rumeur est également arrivée aux oreilles des dirigeants de l’Union Cycliste Internationale.
Selon l’article paru sur le site web Tuttobiciweb.it , il y aurait quelques équipes, quelques coureurs, qui utiliseraient depuis quelques mois ces vélos "motorisés", en contournant les règlements et les contrôles des juges.
Comment ? C’est simple. Sur une compétition de six heures, il suffirait d’utiliser ces vélos "semi motorisé" durant cinq heures afin de dépenser un minimum d’énergie pendant ce laps de temps et de changer de vélo pour la dernière heure de course afin de passer la ligne d’arrivée avec un vélo parfaitement réglementaire. Entretemps, ce vélo ‘non-conforme’ a mystérieusement disparu.
Cette rumeur serait apparue suite à quelques-unes des victoires ‘extraordinaires’ obtenues au printemps. En tout cas, une chose est certaine, c’est que cette rumeur est prise très au sérieux par l’UCI car cette dernière, toujours selon le site Tuttobiciweb.it, est déjà en train de travailler sur un système de scanner permettant de déceler ce soi disant "moteur invisible".
Science-fiction ? Pas du tout. Ces moteurs invisibles sont visibles sur le site autrichien "Gruber Assist",
http://www.gruberassist.com, qui a vraiment réalisé le "cyclomoteur invisible."