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Pierre Rolland c'est comme Di Gregorio, un bon coureur chez les jeunes qui fait un ou deux résultats au max de sa forme et on pense qu'il va exploser mais sur la duré, ils n'ont pas été extra. Les gars ont déjà près de 25 ans je ne pense pas qu'il représente le renouveau du cyclisme.

Des gars comme Sicard ou Geniez ont 20 balais et font des résultats similaire, a voir par la suite.

Moi je pense qu'ils sont mal encadré aussi dans des équipes françaises comme ca ils peuvent pas progresser un max

On attends également beaucoup trop d'eux, suffit de voir les attentes que l'on à sur Sicard. Il est champion du monde espoir, on le voit déjà en futur vainqueur du Tour... comme Brice Feillu, il a gagné une étape sur le Tour en étant néopro, et maintenant on l'attends a chaque étape de montagne.

Pierre Rolland c'est comme Di Gregorio, un bon coureur chez les jeunes qui fait un ou deux résultats au max de sa forme et on pense qu'il va exploser mais sur la duré, ils n'ont pas été extra. Les gars ont déjà près de 25 ans je ne pense pas qu'il représente le renouveau du cyclisme.

Des gars comme Sicard ou Geniez ont 20 balais et font des résultats similaire, a voir par la suite.

Moi je pense qu'ils sont mal encadré aussi dans des équipes françaises comme ca ils peuvent pas progresser un max

Je pense que tu cibles bien le noeud du problème. Il arrive souvent que les coureurs français explosent lorsqu'ils rejoignent une formation Pro Tour étrangère, où la mentalité est bien différente et semble a priori meilleure, ou en tout cas plus propice à tirer le maximum du potentiel d'un coureur...

Un exemple frappant pour moi, c'est Fédrigo : ce gars a incontestablement les qualités pour lutter avec les meilleurs dans les classiques ardennaises, mais n'a jamais fait mieux que 19e à LBL, tout ça parce que "monsieur n'aime pas frotter", et c'est un argument qui revient assez souvent quand on regarde les meilleurs coureurs français (Moncoutié, Gadret, Voeckler ...). Je ne sais pas d'où peut venir ce problème, mais je constate que ces coureurs n'ont jamais connu une équipe autre que française ...

Ils ont peur de l'inconnu, et peur de n'être que des porteurs de bidons dans des équipes étrangères plus côté à mon avis.

Ils ont peur de l'inconnu, et peur de n'être que des porteurs de bidons dans des équipes étrangères plus côté à mon avis.

Oui mais ils devraient changer d'avis vu les exemples récents qui sont de plus en plus nombreux : Chavanel, Pineau, Peraud ...

Ils ont peur de l'inconnu, et peur de n'être que des porteurs de bidons dans des équipes étrangères plus côté à mon avis.

Oui mais ils devraient changer d'avis vu les exemples récents qui sont de plus en plus nombreux : Chavanel, Pineau, Peraud ...

C'est vrai que Perget, Calzati, Charteau (à l'époque de la Caisse d'Epargne) sont des exemples pour ceux qui veulent sauter le pas

Alonso et Contador ne se quittent plus
L'hymne espagnol est décidément à l'honneur en ce dimanche. Alors qu'en Formule 1 Fernando Alonso a fait retentir "La Marche Royale" lors du Grand Prix d'Allemagne disputé sur le circuit d'Hockenheim, en cyclisme Alberto Contador en a fait de même sur le podium du Tour de France. Une coïncidence qui s'était déjà produite en mars dernier, lorsque Fernando Alonso remportait le Grand Prix de Barheïn et que dans le même temps, Alberto Contador remportait Paris-Nice. On savait qu'ils étaient amis, mais à ce point...

Newsweb.

Mark Cavendish a confirmé sur le Tour de France qu'il était bien l'homme le plus rapide du peloton avec pas moins de cinq succès. Le champion de l'Ile de Man avait toutefois pour objectif de remporter le maillot vert, chose qu'il n'a pas su concrétiser.

Mark Cavendish vise désormais les prochains championnats du monde, disputé à Melbourne sur un parcours que l'on annonce à l'avantage des sprinters. Par conséquent, il devient logiquement l'un des grand favori. Il ira en vue de concrétiser ce nouvel objectif peaufiner sa condition sur le Tour d'Espagne en septembre. Où il devrait ajouter quelques ligne à un palmarès déjà bien fourni.

cyclism'actu

mauvaise nouvelle pour Greipel

[mcewen-vélo]

Selon RMC, le Tour de France 2011 offrira à nouveau des pavés, dans le cadre d'un mini Paris-Roubaix. On parle également d'une arrivée au sommet à l'Alpe d'Huez ainsi que d'une étape dans le Cantal.

Source : Eurosport

Nicolas Sarkozy a reçu dimanche peu après l'arrivée du Tour de France à Paris sept coureurs français qui se sont illustrés dans la Grande boucle, l'occasion de faire valoir auprès d'eux sa grande connaissance de l'épreuve, ont rapporté ses invités.

Pendant environ une heure, le chef de l'Etat, passionné de cyclisme, a discuté avec Sylvain Chavanel, qui a remporté deux étapes, Sandy Casar, Christophe Riblon, Thomas Voeckler, Pierrick Fédrigo, qui en ont gagné chacun une, Anthony Charteau, le meilleur grimpeur et John Gadret, premier Français au classement.
Les directeurs sportifs des équipes représentées étaient également de la rencontre, ainsi que les patrons de la Fédération française de cyclisme (FFC) et du Tour, David Lappartient et Christian Prudhomme.
"Il sort des anecdotes que peu de personnes connaissent. Même nous on est moins calés que lui sur la culture cycliste", a lâché Christophe Riblon après la rencontre, qui s'est tenue à la terrasse de l'Elysée, côté jardin.
"Visiblement il était parfaitement au fait de ce qui s'est passé pendant les trois semaines du tour. Il avait suivi toutes les étapes et il connaissait parfaitement l'évolution de chacun de nos coureurs", a aussi noté Marc Madiot, manager de l'équipe Française des jeux.
"Il nous a posé quelques questions" sur le dopage "mais il est résolument optimiste pour l'avenir du vélo. En tout cas il a réitéré le fait que le Tour de France était indispensable dans le patrimoine français", a encore rapporté Marc Madiot.
Le président a ensuite raccompagné les coureurs sur le perron de l'Elysée aux côtés de son épouse, Carla Bruni-Sarkozy, qui a assisté à cinq minutes de la rencontre, selon les cyclistes.
Le chef de l'Etat s'était déplacé jeudi sur la 17e étape du Tour (Pau-Col du Tourmalet) dont il avait suivi les derniers kilomètres dans la voiture de Christian Prudhomme.
Depuis son élection à l'Elysée en mai 2007, il s'est déplacé trois fois sur le Tour, ne manquant qu'en 2008 sa traditionnelle visite au peloton.


Source : AFP