
Lors du débat national des citoyens sur le sujet, les avis se sont montrés très divergents. L'exemple de l'équipe cycliste lamboréenne
Transports Champey est l'un des plus remarquable.
Le syndicaliste
Dominique Pastis donne tout son soutien au
Général Shabran, un avis qui n'est pas très étonnant car les deux hommes sont des briscards de la révolution populaire. Il ajoute ensuite que la solution d'un embargo serait n premier pas, mais qu'il risquait de tourner au conflit.
Le québécois
Arnaud Gagnon se montre lui complètement opposé à une intervention militaire, il parle même d'une alliance entre les deux puissances soulignant leur opposition commune au Pape Benoit XVI. Il réaffirme son admiration pour le Général. N'est ce pas le plus important ?
Alexis Némo, lui, s'oppose aussi à la solution militaire. Il préférerait une résolution diplomatique du conflit. Mais la diplomatie est elle de mise lorsque l'on voit le caractère belliqueux de l'Impératrice Edeniha.
Will Steiger semble plutôt en accord avec Némo, mais avouant à demi-mots que si la diplomatie et la négociation s'avère inutile, il faudra bien passer par le choix des armes.
Le breton
Jerry Le Cannelec pense que la Lamborée a d'autres priorités plus importantes n'étant pas une nation de guerre et avant tout une terre d'accueil. Il affirme donc que notre grand et magnifique Général a respecté la nation Lamboréenne en acceptant l'exil de Kiya. Cependant, ses reproches sur la liberté d'expression en Lamborée sont inadmissibles, et il écopera certainement d'heures de travail communautaire pour rembourser sa dette à la nation.
Le Danois
Carl Andersen se refuse de penser à une intervention militaire et demande l'utilisation de moyens pacifiques pensant que la guerre aggraverait la situation. Pas étonnant venant d'un Danois, ... ils pensent certainement que le monde se concentre autour de leur Petite Sirène et que les abeilles se font des bisous dans la plaine en fleur. Cet avis est partagé par Jules Feray (qui n'était pas sans voix).
Erik Valenne de son côté supporte l'idée d'un ultimatum à Byzance les invitants à poser les armes.
Yann Le Gaec envisage par contre de devenir le César de Kiya, qu'il surnomme Cléopatre des temps modernes. Mais attention, il parait que Cléopatre est un pot de colle.
Justin Rifilou dans un élan de bonhomie joyeuse appelle sobrement à la guerre.