Le Tour de France 2011

Heu calmer vous aussi, c'est pas pareil une étape comme aujourd'hui et une succession de col, faut pas tirer de conclusion trop rapidement.
Le seul qui confirme qu'il est bien sur tout les terrains c'est Evans, après rappeler vous Mur de Bretagne, Andy lâche un peut et pourtant il était au dessus dans les Pyrénées donc bon faut attendre les gros cols alpin et pas se baser sur un deuxième catégorie.

Pour la descente par contre s'il pleut demain, la descente de Sestrières c'est 50 bornes avant la dernière bosse et une autre descente après cette bosse donc les Fréros devrait prendre très cher, Voeckler s'il tient dans la monté gardera surement son maillot et Evans sera toujours le grand favori. Contador descend bien mais sur une si longue distance attention.

J'ai pas vu l'étape mais dans la descente c'est Samuel qui prend les relais ?

surtout Conta et Evans qui les distances

Il y a aussi la pluie qui a joué, je pense vraiment que les Schleck sont comme Ulrich, dès qu'il pleut ça leur noue l'aiguillette, ils ont peur en descente, stressent en montée (et dès qu'on est tendu ça fait plus d'acide lactique, les jambes dures). S'il fait mauvais sur les deux grosses étapes des Alpes, c'est tout simplement fini pour eux...

ils ont peur en descente, stressent en montée

Et sont mauvais sur contre-la-montre. Ne feraient-ils par conséquent pas mieux d'aller lire des BD ou jouer aux cartes, et de laisser les grandes personnes courir le Tour de France ? On peut se le demander.

Je viens de jeter un oeil sur le palmarès d'Andy Schleck : http://www.cyclingbase.com/palcoureurs. ... &idtitle=1 . 7eme année pro, 9 victoires (dont 3 importantes : LBL il y a deux ans, et deux étapes du Tour l'an dernier).
Je ne suis pas le dernier pour le critiquer, mais je pense avoir tort, ainsi que tous ceux qui le critiquent aussi. L'erreur fondamentale que nous commettons est de penser qu'il s'agit d'un BON coureur. Or il s'agit là d'un jugement erroné. Andy Schleck n'est autre qu'un genre de Vladimir Karpets de l'époque : un ersatz d'outsider spécialisé dans la déception de ses fans et de ses sponsors. Un type présenté comme vainqueur potentiel, mais qui au final se ridiculise coup sur coup. Un clown, un bouffon, quoi.

Conclusion : fichons la paix au pauvre Andy Schleck, et laissons-le travailler à son véritable rôle dans l'équipe Leopard : laver les carreaux du bus. Dans le cyclisme professionnel, il est important de ne rien laisser au hasard et d'avoir des carreaux propres (c'est dangereux, sinon.) Bravo Andy.

Quel récit réaliste et bien poussé!20/20!

J'ai pas vu l'étape mais dans la descente c'est Samuel qui prend les relais ?

Non il était cuit,trop grosse montée ou mal en jambes mais sinon il les aurait pris je pense.

Il y a aussi la pluie qui a joué, je pense vraiment que les Schleck sont comme Ulrich, dès qu'il pleut ça leur noue l'aiguillette, ils ont peur en descente, stressent en montée (et dès qu'on est tendu ça fait plus d'acide lactique, les jambes dures). S'il fait mauvais sur les deux grosses étapes des Alpes, c'est tout simplement fini pour eux...

Ils ont tous peur de Contador surtout !

Il y a aussi la pluie qui a joué, je pense vraiment que les Schleck sont comme Ulrich, dès qu'il pleut ça leur noue l'aiguillette, ils ont peur en descente, stressent en montée (et dès qu'on est tendu ça fait plus d'acide lactique, les jambes dures). S'il fait mauvais sur les deux grosses étapes des Alpes, c'est tout simplement fini pour eux...

Ils ont tous peur de Contador surtout !

Malin comme il est et quand on voit les shlecks,il peut être confiant!

Et sont mauvais sur contre-la-montre. Ne feraient-ils par conséquent pas mieux d'aller lire des BD ou jouer aux cartes, et de laisser les grandes personnes courir le Tour de France ? On peut se le demander.

Oui enfin n'exagérons pas. Schleck a quand même un vrai potentiel de vainqueur de grands tours, dans un profil de grimpeur, mais il a de vrais limites et surtout un problème mental. Quand il se plaint qu'ASO fasse des arrivées en descente il est juste ridicule. Il doit comprendre que le tour ce n'est pas que le parcours qui l'arrange, déjà les CLMs sont réduits à la portion congrue, on aurait deux CLMs de 40 bornes dans le tour, la question de la victoire de Schleck ne se poserait pratiquement pas...

Il faut qu'il se regarde en fasse et courre sur ses qualités, pas en suranalysant et surréfléchissant. Comme il est limité en contre la montre et descend mal, il doit se donner le max de moyen pour faire des écarts dans les arrivées en altitude. Et ça ça implique de durcir la course et de savoir se lancer dans une attaque, une vraie, en imposant un grand rythme, quitte à avoir 3 ou 4 gars sur le porte bagage pendant 3 bornes qui refusent de prendre des relais.. Alors seulement si ça marche pas tu peux reralentir et mettre des acoups, mais la manière dans il a courru au plateau de Beille était une manière de courir comme s'il s'agissait d'une course d'un jour, il n'a pas compris qu'il devait faire des écarts et insister pour faire mal aux autres.. Même si certains (Contador ou Evans par exemple) ne lâchent pas, d'autres (Voeckler, Basso, etc..) auraient sans doute explosé et il se serait simplifié la tâche.

"Marco Mercato", "Ryder Hardal", "Osvald Boasson Hagen"...

Merci Jean-René Godard.