[PCM 2012] Récit équipe de jeunes forumeurs !

malgrè sa préparation pour Paris Roubaix Gaston Berger est présent à la conférance de presse, mais cette lég_re apparition ne l'a pas empêcher de faire ces bornes du jours en reconnaissant le carrefour de l'arbre qu'il a parcourru près de 20 fois dans la journée
après la pause un journaliste commence l'interview

journaliste : bonjour M. Berger, comment vous sentez vous à l'approche de ce Paris Roubaix ?

Gaston Berger : Je me sens très bien, je sais que l'équipe sera soudée autour de moi en cas de besoin comme je sais que je me sacrifirai pour eux si je ne suis pas leader dimanche ou sur une autre course. Et ma récente 4° place au tour des Flandres m'a permi de faire le plein de confiance.

journaliste : vous avez d'autre objectif dans l'année, il parait que vous avez envis de courir en Autriche ?

Gaston Berger : Je veux gagner le maximum de classique dans ma carrière, après l'enfer du nord, j'espère que je pourrai courir aux grand prix de Lombardi. Pour ce qui est de l'Atriche, il est vrai que j'ai envis de faire le tour d'Autriche, car ma belle famille est autrichienne, mais je ne focalise pas là dessus, le plus important se sont les grandes classiques.

journaliste : vous verra t on un jour sur un grand tour ?

Gaston Berger : quand le manager m'y trainera peut être (rire) honnètement, je n'ai pas envis de courir sur un grand tour à l'heure actuellle, je prefaire m'amuser sur les courses d'un jour qui me correspondent plus, mais si on me demande d'y aller j'irai bien entendu.

journaliste : Et que pensez des tensions dans le groupe ?

Gaston Berger : J'attendais votre question, surtout après l'interview précédente, ben c'est simple j'en ai rien à foutre de ce qui se passe entre certains courreurs, en dehors des coureurs que j'ai vu sur les courses aux quelles j'ai participé, je n'ai vu personne depuis janvier car j'étais occupé à manger du pavé en Belgique et dans le nord de la France, avant de venir j'ai fait 20 fois une boucle contenant le secteur du carrefour de l'arbre et un autre secteur pavé, je connais chaque centimètre du prochain Paris Roubaix, je ne soutiens personne dans ces histoires qui ne me concernent pas, j'ai d'autre chose à faire, tout ce que je peux vous dire c'est que mon boulot c'est de pédaler de faire de mon mieux, de gagner si je suis leader, et quand je suis équipier, de me défoncer pour le leader, peut importe de qui il s'agit, et de la course sur la qu'elle je suis alinié, un point c'est tout. La seule chose qui compte pour moi, c'est d'être correct avec tout le monde et que tout le monde soit correct avec moi.
Sur ce je vous laisse il faut que je remonte dans le nord préparer le prochains Paris Roubaix.

Gaston Berger salue le journaliste, et l'attaché de presse qui reste assez partager sur la réponse du jeune flandrien. Lee journalistes attendent le prochain coureur

Les journalistes s'approchent donc de Robert Croustibat:

Journaliste: Alors, vous êtes donc l'un des 5 nouveaux de la team RED BULL, comment ressentez-vous votre début de carrière?

R. Croustibat: Je le trouve fort satisfaisant étant donné que ce n'est que ma 1ère année dans cette équipe. J'ai déjà décroché une victoire d'étape et un podium sur le Tour du Var.

Journaliste: Comment réalisez-vous le fait que vous ne soyez pas sélectionné pour les Grands Tours?

R. Croustibat: Comme je l'ai dit précédemment, ce n'est que ma 1ère année et il me faudra beaucoup évoluer pour être un jour sélectionné sur l'un des Grands Tours.

Journaliste: Pensez-vous que des tensions se créent par rapport au coureur Quentin Courville?

R. Croustibat: Non, je viens d'arriver et je ne vois pas de signes de tensions dans l'équipe, le coach gère très bien tout ça.

Journaliste: Vous imaginez-vous comme un élément clé de cette équipe RED BULL plus tard?

R. Croustibat: Je ne peux pas me prononcer pour l'instant, tout cela dépendra de mon coach et de mon évolution.

Journaliste: Peut-être que plus tard, personne ne pourra vous battre? (rire) [Référence à la pub: Croustibat qui peut te battre?]

R. Croustibat: (rire) Très drôle. Bon, je vous laisse sur ce jeu de mots avec mon nom de famille.

Après avoir ri un bon coup, les journalistes attendent un autre coureur.

Le coatch va etre content qu'on prenne soin de sa page en rentrant il aura de quoi lire sa serai cool que tout le monde participe a plus on a cas y tous pas la meme fason de repondre (dont un qui a failli me faire croire qu'il y avais des tension mdr)

Journaliste: Bonjour Mesiis, Comment voyez vous votre séléction pour le TdF ?

N.Mesiis: Je vois cette séléction comme une énorme chance, si on m'avais dit lors de mon transfert que j'allais être aligné sur le tour dès ma première année, j'aurais signé de suite. Ce que j'ai fait d'ailleurs (rire)

Journaliste: Même questions qu'aux autres, existe-t-il des tensions entre Courville et ses équipiers ?

N. Mesiis: Il n'y a absolument aucun tension, nous sommes tous prêt à l'aider notamment sur le Tour de France où il peut finir très bien classé.

Journaliste: Pour finir, quels sont vos objectifs cette année ?

N. Mesiis: Au départ, je n'imaginais pas être aligné sur un GT donc mes objectifs étaient les championnats de France, ainsi que quelques victoires par-ci par-là. Mon plus grand objectif était d'aider mes leaders jusqu'à la victoire. Maintenant mon objectif principal est bien évidemment de tout donner pour aider Courville sur le tour et pourquoi pas viser le maillot à pois, après le coach décidera.

Les journalistes se remettent en quête de nouveaux coureurs à interviewer .

Désolé de vous déranger, mais est-ce que un stagiaire ou un nouveau cycliste pourrait intégrer l'équipe la prochaine saison?

Cette fois, c'est au tour de Quentin Courville d'arriver en conférence de presse.

Journaliste : Bonjour Quentin, quels sont vos objectifs cete saison ?
Q. Courville : Le Tour de France, bien évidemment, ainsi que la Vuelta, si la forme le permet. Sinon, je me mettrai au service d'un autre leader. Je compte aussi bien démarrer avec le Dauphiné, même si la forme ne devrait pas trop là.

Journaliste : Il y a des rumeurs comme quoi certaines tensions exiteraient, et vous en serait le principal interessé. Qu'avez-vous à dire ?
Q. Courville : Honnètement, pas grand chose. Me voir progresser comme ça d'un coup, c'est normal que ça éveille les soupçons. Mais bon, je fais du cyclisme, c'est tout. Pour une fois que quelque chose de semblable m'arrive, je ne vais pas cracher dessus, non ?

Jounaliste : Et que pensez-vous du début de saison de l'équipe ?
Q. Courville : Il est moins bon que l'année dernière, mais compte tenu du fait que nous sommes désormais en World Tour, les courses sont aussi plus difficiles, avec surtout plus de concurrence. Malgré tout, les bonnes places d'honneur que nous avons obtenu nous laissent présager que du bon pour l'avenir de l'équipe et du groupe.

Sur cette dernière déclaration, Q. Courville s'en alla et les journalistes attendent une autre personne à interviwer.

Me revoici sur le récit j'ai pas pu me connecter depuis le 4/08 pour cause de demenagement et aucune connexon internet maintenant j'ai plus qu'a relire 30 pages de retard

C'est au tour de Ruben Pinilla de rentrer dans la salle de conférence de presse.

Journaliste : Bonjour Mr Pinilla, comment vivez vous ce début de saison ?
RP : Bonjour, avant tout je suis assez frustré. J'espèrais avoir de meilleurs résultats.

Journaliste : Mais pourtant vous devez être le meilleur membre de votre équipe au classement CYA ?
RP : En effet, mais vu que le groupe est extrêmement jeune, ce n'est pas très dure. De plus mes grands objectifs sont déjà passés.

Journaliste : Quels étaient t-ils ?
RP : Il s'agissait de Milan San Remo, le tour de catalogne et le tour du pays basque ! D'ailleurs mon meilleur résultat à été au Tirenno..

Journaliste : Mais on ne vous à pas vu sur la Primavera ?
RP : En effet.. les tensions dont le journal l'équipe parlait venait d'une dispute entre le coach et moi..
Tous les journalistes suspectants Courville, ils ont pensé que les membres de l'équipe étaient jaloux de lui !
Mais c'est faux, toute l'équipe est concentré autour de lui pour l'évènement majeur de cette année : Le tour.

Journaliste : Donc vous confirmez qu'il n'y a aucune tension dans l'équipe ?
RP : Comme vous l'ont dit mes Co-équipiers avant il n'y a pas de tension.. d'ailleurs la dispute avec le coach personne d'autre n'est au courant.
De plus pour montrer notre engagement autour de Quentin (Courville), nous avons décidé d'accompagné l'équipe sur les routes pour les encourager si notre calendrier le permet.

Journaliste : Pour en revenir à vous, que devez vous améliorer pour progresser et un jour titiller les meilleurs ?
RP : Je pense que je dois amélioré mes qualités sur le plat, car je dépense trop d'énergie inutile à garder ma place, puis ensuite de m'améliorer quand la route s'élève.

Journaliste : N'est-il pas bizarre qu'un coureur à étape-Sprinteur ne soit pas foirt sur le plat ?
RP : Je dois avouer que je n'est pas très bien travailler dans mon enfance..

Journaliste : Quel est la suite de votre programme ?
RP : Je pense aider Damiano (Mystério) sur les ardenaises puis reprendre pour la fin de saison sur l'éneco tour puis la Vuelta.

Journaliste : Quel sera votre rôle ?
RP : Je serais le lieutenant Quentin (Courville) et Thomas (l'andouille). Mais ils risquent d'être fatigué par leur 1er grand tour, donc s'ils ont un coup de moins bien, je jouerais bien évidement ma chance..

Journaliste : Vous seriez prêt à abandonner vos leaders ?
RP : Oui ! Enfin non.. Enfin si je peux montrer mon potentiel vous comprenez..

Journaliste : Et votre engagement autour de Courville, s'arrêtera au tour de France alors ?
RP : ... ( et il sort en catimini de la salle )

Alors qu'il sortait de son hôtel, un journaliste aborda Florian Poil pour lui poser quelques questions.

Journaliste: Bonjour Mr Poil, on peut dire que j'arrive pile-poil au bon moment. Comment se passe votre début de carrière?

Florian Poil: A vrai dire, je m'attendais a mieux, j'ai du mal à progresser.

Journaliste: Etes vous au courant comme quoi il y aurait certaines tensions chez RedBull?

Florian Poil: Oui d'après ce que j'ai entendu Mark Webber et Vettel ne s'entendent plus.

Journaliste: Je vous parle de cyclisme pas de Formule 1.

Florian Poil: Ah excusez moi le réveil est difficile. Pour en revenir a l'équipe je suis au courant de rien du tout allez donc posez cette question aux intéressé moi je fais mon boulot d'équipier, je m'entend très bien avec tout le monde.

Journaliste: Pour en finir avec cette interview, êtes vous heureux de participer au Giro et quels seront vos objextifs personnels sur cette course?

Florian Poil: C'est toujours fanstastique de disputer un grand tour après c'est sur j'aurais préféré jouer la victoire mais je dois me contenter d'etre équipier tant pis. Mais je vais tout de même tenter de remplir mon objectif de ramener tout les maillots à pois des grands tour.

Florian quitta le journaliste et grimpa sur son vélo en direction d'une côte où le panneau indiquait un passage a 20% sur 3 km

Est ce qu'il y aurait de la place pour un nouveau coureur

J'adore ton idée de crée une carriere avec des coureurs crée