
DOSSIER JEUNE PUNCHEUR
Après la semaine qui vient de s'écouler et les trois classiques qui ont vu l'émergence de Poels, il est logique, à l'instar du dossier flandrien, de vous parler des jeunes puncheurs de demain. La aussi, la génération des 26-27 ans a pris le pouvoir en l'absence d'une des références, Philippe Gilbert, qui a fait le choix de se retirer une année. Mais à bientôt 33 ans, le belge va découvrir, si il décide de revenir, cette nouvelle génération:

Et on commence par celui qui est déjà leader dans son équipe, Illenberger. L'autrichien est la pépite du cyclisme dans son pays et est le leader de la Lampre sur les courses vallonnées. L'équipe la débauché en 2013 du Rc Arbö et ne semble pas vouloir le lâcher. 8ème des derniers championnat du monde, nul doute que l'on reparlera de lui très bientôt.
Le second nous vient d'Ukraine et se comme Voroshyn(élite-2). Il porte actuellement le maillot de champion d'Ukraine remporter la saison dernière. Mais pour le voir sur les plus grandes courses, il faut attendre car il s'épanouit au Clube Dataro de Ciclismo pour encore cette saison. Mais en fin de contrat cette saison, il pourrait très bien partir ailleurs, car il va sans doute attirer du monde.
Tournons nous du coté du Danemark avec Hardahl. Une saison 2011 qui na pas convaincu Malonox de la garder, il passe amateur en 2012 avant que le team Concordia ne vienne le chercher. Maintenant, il rêve de mieux et pourquoi pas rejoindre l'équipe danoise du pro tour, la SaxoBank. A 22ans, il est l'un des plus prometteur.
Restons au Danemark avec Lander. Lui est maintenant partit du Team Concordia ou il a débuté. Il apprend maintenant chez l'équipe danoise du Pro Tour justement mais n'est toujours pas leader. Qu'importe, il apprend avant de pouvoir enfin jouer sa carte, lui qui a participer à ses premières classiques.
Côté français, Pauriol et Gautier sont les fers de lance mais on pourrait bien voir Jay dans le futur. Une très bonne progression en amateur en 2014, il fait sa première année directement dans le Pro Tour chez AG2R la mondiale. Et déjà, une participation à la semaine ardennaise ou il a appris sans réussir à rester avec les meilleurs. Mais à seulement 23 ans, il est l'un des grands espoir français.
Les italiens ont aussi leur futur leader avec Cattaneo(élite-2). 2011 chez les amateurs, il évolue depuis chez Miche ou il a maintenant un statut de leader. Et déjà, il s'illustre avec une belle troisième place sur les Strates blanches. On ne le verra sans doute pas sur le Pro Tour la saison prochaine ayant encore une année de contrat mais après?
La Norvège a elle aussi un grand talent, Dybvikstrand(élite-2). Il rejoint, après deux années en amateur, l'équipe italienne De Rosa. Deux bonnes saisons qui l'amène à devenir un équipier d'Illenberger à la Lampre. En vue surtout lâché sur les classiques, il a pris de l'expérience pour le futur.
Warbasse est lui aussi passé par les amateurs en 2011 avant de rejoindre le Team Type 1-Sanofi. Et il s'est déjà illustré sur la dernière Vuelta avec différent top dix sur des étapes et le port du maillot de meilleur jeune. Cette saison, il a rejoint la formation Garmin ou il est équipier du duo M.Kreder-Poels. Mais dans le futur, il risque de rêver d'une place de leader.
L'Autriche regorge de talent avec Täubel. Et comme Illenberger, il a commencé chez le Rc Arbö en 2011. Après deux ans, il a lui fait le choix de rester dans une petite équipe, toujours autrichienne, le team Vorarlberg. Mais vu ses capacités, et son contrat se finissant à la fin de l'année, on pourrai le retrouver à un autre niveau.
Du Brésil, dans le vélo, on connaissait surtout le sprinteur Fisher. Mais maintenant, il faudra peut-être faire avec Pereira da Rosa. Des débuts au Clube Dataro de Ciclismo en 2012 avant de les quitter cette saison pour l'équipe américaine Better Specialized. Si il continue de progresser, il pourrai bien être le premier brésilien à inscrire son nom à une classique.
La Serbie n'est pas en reste avec un grand espoir, Zekavica. Celui-ci a débuter dans le club de son pays, le Partizan Power Move. Depuis, il a évolué pour rejoindre l'Europe et les norvégiens de PCMNorge – Vinking, anciennement Ringerinks – Kraft. Reste à savoir si il sera capable de franchir un palier pour passer dans une grande équipe.
A 22 ans, Stark est dans le top. Pour l'instant, il reste dans l'équipe de ses débuts en 2013, le Jamis – Sutter Home. Quatrième des championnats des Etats-Unis la saison passé, il s'exprime pour l'instant surtout sur les courses américaine. Mais sans contrat à la fin de la saison, il pourrai bien découvrir l'Europe par la case Pro Tour.
Kreuziger s'illustre pour la République Tchèque mais le futur national peut se nommer Rubas. Des débuts à l'Ac Sparta Praha en 2011 avant de rejoindre en 2013 la seconde équipe tchèque: l'Asc Dukla Praha. Et depuis cette saison, les bons résultats s'enchainent lui permettant, peut-être, d'aspirer à rejoindre le niveau supérieur.
L'Allemagne est un peu en retrait avec Dehmel qui n'est que le premier. Et surtout, il reste dans les petites équipes. En effet, après quatre ans au Lkt Team Brandenburg, il rejoint cette saison l'équipe asiatique Champion System. Mais cette année, les résultats semblent enfin au rendez-vous, ce qui peut lui faire espérer de franchir un pallier, si il confirme dans son équipe l'an prochain ou il sera encore pour une année.
Le suivant évolue déjà en Pro Tour: Kajetan Fricke. Après une année 2011 au sein du Team Vorarlberg, il part courir en amateur. Ensuite, il rejoint la Deutsche Bank avec qui il grandit. Et depuis deux, ans on le voit sur les classiques ardennaises mais aussi au dernier tour de France. Mais cette année, il a réussit à suivre les meilleurs sur les trois classiques, finissant même sixième de l'Amstel Gold Race. Nul doute qu'on le verra encore dans les saison futur, même si il devra faire avec la concurrence de son leader Nerz.
Gros espoir italien, Moreno Moser(élite-2) peine à confirmer. La preuve, fin 2011, il réussit à trouver une équipe mais pas à la hauteur des espoirs placé en lui; il signe pour l'équipe brésilienne Funvic – Pindamonhangaba. Équipe ou il est encore. A 24 ans, il va bientôt être temps pour lui d'enfin se montrer pour rejoindre l'élite dont il rêve surement.
Woznicki débute en 2011 au Legia – Felt. Depuis, il a rejoint l'équipe phare de Pologne, le CCC Polsat Polkowice. Actuellement, il y court toujours et est devenu l'un des leaders de la formation. La saison dernière, il réalise à prendre la 24ème place de championnat du monde très exigeant, qui prouve sa valeur. Mais pour la saison prochaine, son avenir est déjà réglé, il courra toujours pour la même équipe.
Gerrans est toujours présent chez les australiens mais la jeune garde monte avec Grimshaw. En 2013, il est repéré par une équipe australienne, V-Australia, qui l'engage en néo-pro. Et en 2014, il monte déjà sur le podium de son championnat national et remporte un tour, celui de Beauce. Cette performance tape dans l'œil des dirigeants Sky qui viennent de l'engager cette saison.
Décidément, l'Autriche est bien fournit avec encore un, Lindlbauer. Des débuts au Rc Arbö l'on conduit à rejoindre la plus grosse écurie autrichienne, le team Vorarlberg. C'est dans cette équipe qu'il court toujours et se montre principalement sur les course allemande et autrichienne qui lui réussisse plutôt bien. La preuve, sa 24ème place au tour d'Autriche la saison dernière avec à la clé, quelques place dans les dix.
Les belges semblent eux plus à la peine que sur les pavés car Van Snick semble bien seul dans ce classement. Et depuis 2011, il est fidèle à l'équipe de ses débuts, Donckers Koffie – Jelly Belly. Mais, vu le manque de jeune belge, il risque bien d'attirer les formations belges plus huppées à la recherche d'un leader ou équipier belge. Un départ cette année est donc envisageable.
Les espagnols semblent aussi en manque de jeune même si Herrada Lopez n'est pas tout seul. Pourtant, il semblait prometteur lui qui a commencé à la Movistar. Mais, fin 2011, l'équipe ne veux plus de lui. Il rebondit alors au sein du team Burgos 2016. Mais là encore, les résultats sont difficile, pas un seul top quinze. Heureusement, il lui reste une année de contrat. Mais il va falloir se montrer plus pour espérer toujours avoir une équipe dans le futur.
Direction le Canada et Boily. Il débute chez lui, avec le Team SpiderTech Powered by C18. De bonne performance lui en permit de rejoindre cette année l'équipe italo-vénézuélienne Androni Giocattoli – Pirelli. Et sa progression ne semble pas finit.
Deuxième et dernière espagnol, Andrès Lusarreta est lui aussi un grand espoir côté ibérique. Et pour ses débuts, c'est Euskatel qui s'est montré le plus convaincant. Ainsi, en 2015, il court dès sa première saison dans le Pro Tour. Il lui reste plus qu'à apprendre pour un jour, jouer les premier rôle.
Une année 2011 en amateur avant de rejoindre les nordistes du Roubaix Lille Métropole pour Saux(élite-2). Très en vue sur les courses auxquelles il a participer, Bernaudeau et Europcar lui on alors fait les yeux doux. Et en 2014, il a accepté ses avances pour rejoindre l'équipe Pro Tour. Et pour sa première saison avec les vert, une 20ème place sur le grand prix de Plouhay très encourageante.
Troisième allemand, Sydlik na rien à envier aux deux autres. En effet, de bon début chez Nuttrixion en 2011 et quatre bonnes années lui ont ouvert les portes du Pro Tour. Mais pas pour une équipe allemande, il a choisit de partir loin, à l'Est. En effet, il est désormais équipier de Zeits ou du champion du monde Fuglsang chez Astana. Dure de se faire une place mais l'allemand va se battre, lui qui était sur la semaine ardennaise.
Voilà un autre italien avec Donato. Mais lui semble dans le dur niveau carrière. En effet, il signe néo-pro chez Colnago en 2012. Mais deux ans plus tard, il n'est pas conservé et ne trouve pas d'équipe. Cette saison, la modeste équipe Better-Specialized lui offre une seconde chance. A lui de la saisir et de rebondir pour prouver à Colnago qu'ils auraient dut le conserver.
Dernière italien maintenant, Chianelli. Déjà évoqué lors du dossier flandrien, il semble à l'aise autant sur les pavés que dans les bosses. Un futur coureur du tour des Flandres et, pourquoi pas, capable de remporter les cinq classique, ardennaise et flandriennes.
Et si Vainsteins avait un successeur sur un podium mondial avec Stonis? En tout cas, le jeune letton doit encore progresser et pour cela, peut-être changer d'équipe. Il la déjà fait quittant fin 2013 le VC la Pomme Marseille, l'équipe de ses débuts. Mais le choix de rejoindre l'équipe de son pays, Alpha Baltic, n'était peut-être pas la meilleur idée. En effet, comme avec l'équipe franco-lettone, les résultats ne sont pas là et son palmarès toujours vierge de la moindre place d'honneur. Peut-être que la première sera le déclic de sa carrière?
Encore un jeune qui a fait beaucoup parler chez les juniors, Jungels(élite-2). Il lui aura fallut deux ans chez les amateurs avant de rejoindre une équipe. Et alors, direction la Croatie et Loborika. Quelques résultat timide mais 2015 semble bien partit. A lui de montrer donc qu'il mérite sa place au niveau supérieur, pourquoi pas dans la structure luxembourgeoise.
Don n'est pas titre social mais bien la nom du coureur hollandais. Et il a choisit pour débuter sa carrière, non pas les oranges de la Rabobank, mais la seconde grande équipe des Pays-Bas, Vacansoleil qui la engagé comme néo-pro en 2014. Et cette saison, des résultats encourageant sont déjà là. Attention donc à ce jeune coureur qui est peut-être le successeur des Boogerd, Poels et compagnie.
Peut-être nouveau pays au palmarès d'un classique, la Nouvelle-Zélande. En effet, si il continu de bien progresser, le meilleur attend Gunman. Pourtant, il a failli tout arrêter en 2011 quand le team PureBlack ne la pas prolongé. Mais une année plus tard, il revenait avec Amore&Vita. Et depuis cette année, il essaye de se révéler avec l'équipe sud africaine Outch Africa. Bonne chance à lui.
Voilà un slovaque que l'on reverra car Macak na rien d'un singe. On reparlera de lui sur le dossier grimpeur car il fait partit des grands espoir. Il en est de même sur les vallons ou il peut réussir là ou P.Velits a échoué. Pour cela, il lui faudra sans doute quitter l'équipe TV Nova - Merida, ex Dukla Trencing – Merida. En fin de contrat cette saison, on le sait déjà sur les tablettes de quelques équipe Pro Tour.
Et on conclue ce dossier sur un ukrainien, Filin. En 2011, il signe chez Kolss Cycling Team qui ne le conservera pas. Une année amateur, il revient chez Vevissima, ex équipe continental Lampre: ISD – Lampre. Depuis trois ans, il y est. Mais après une saison 2014 blanche, il doit se ressaisir si il veut espérer rejoindre le haut niveau, pourquoi pas la Lampre qui na pas voulu de lui.
Voilà la fin de ce second dossier de l'année qui j'espère vous aura plus. Et comme précédemment, voilà les meilleurs puncheurs de la partie:

N'hésitez pas à signaler si ces post vous semble trop long, je raccourcirai le prochain. Le prochain justement, pour quand? Bonne question. Il sera sans doute consacré aux grimpeurs après le Giro qui s'annonce très montagneux cette année.
Après la semaine qui vient de s'écouler et les trois classiques qui ont vu l'émergence de Poels, il est logique, à l'instar du dossier flandrien, de vous parler des jeunes puncheurs de demain. La aussi, la génération des 26-27 ans a pris le pouvoir en l'absence d'une des références, Philippe Gilbert, qui a fait le choix de se retirer une année. Mais à bientôt 33 ans, le belge va découvrir, si il décide de revenir, cette nouvelle génération:

Et on commence par celui qui est déjà leader dans son équipe, Illenberger. L'autrichien est la pépite du cyclisme dans son pays et est le leader de la Lampre sur les courses vallonnées. L'équipe la débauché en 2013 du Rc Arbö et ne semble pas vouloir le lâcher. 8ème des derniers championnat du monde, nul doute que l'on reparlera de lui très bientôt.
Le second nous vient d'Ukraine et se comme Voroshyn(élite-2). Il porte actuellement le maillot de champion d'Ukraine remporter la saison dernière. Mais pour le voir sur les plus grandes courses, il faut attendre car il s'épanouit au Clube Dataro de Ciclismo pour encore cette saison. Mais en fin de contrat cette saison, il pourrait très bien partir ailleurs, car il va sans doute attirer du monde.
Tournons nous du coté du Danemark avec Hardahl. Une saison 2011 qui na pas convaincu Malonox de la garder, il passe amateur en 2012 avant que le team Concordia ne vienne le chercher. Maintenant, il rêve de mieux et pourquoi pas rejoindre l'équipe danoise du pro tour, la SaxoBank. A 22ans, il est l'un des plus prometteur.
Restons au Danemark avec Lander. Lui est maintenant partit du Team Concordia ou il a débuté. Il apprend maintenant chez l'équipe danoise du Pro Tour justement mais n'est toujours pas leader. Qu'importe, il apprend avant de pouvoir enfin jouer sa carte, lui qui a participer à ses premières classiques.
Côté français, Pauriol et Gautier sont les fers de lance mais on pourrait bien voir Jay dans le futur. Une très bonne progression en amateur en 2014, il fait sa première année directement dans le Pro Tour chez AG2R la mondiale. Et déjà, une participation à la semaine ardennaise ou il a appris sans réussir à rester avec les meilleurs. Mais à seulement 23 ans, il est l'un des grands espoir français.
Les italiens ont aussi leur futur leader avec Cattaneo(élite-2). 2011 chez les amateurs, il évolue depuis chez Miche ou il a maintenant un statut de leader. Et déjà, il s'illustre avec une belle troisième place sur les Strates blanches. On ne le verra sans doute pas sur le Pro Tour la saison prochaine ayant encore une année de contrat mais après?
La Norvège a elle aussi un grand talent, Dybvikstrand(élite-2). Il rejoint, après deux années en amateur, l'équipe italienne De Rosa. Deux bonnes saisons qui l'amène à devenir un équipier d'Illenberger à la Lampre. En vue surtout lâché sur les classiques, il a pris de l'expérience pour le futur.
Warbasse est lui aussi passé par les amateurs en 2011 avant de rejoindre le Team Type 1-Sanofi. Et il s'est déjà illustré sur la dernière Vuelta avec différent top dix sur des étapes et le port du maillot de meilleur jeune. Cette saison, il a rejoint la formation Garmin ou il est équipier du duo M.Kreder-Poels. Mais dans le futur, il risque de rêver d'une place de leader.
L'Autriche regorge de talent avec Täubel. Et comme Illenberger, il a commencé chez le Rc Arbö en 2011. Après deux ans, il a lui fait le choix de rester dans une petite équipe, toujours autrichienne, le team Vorarlberg. Mais vu ses capacités, et son contrat se finissant à la fin de l'année, on pourrai le retrouver à un autre niveau.
Du Brésil, dans le vélo, on connaissait surtout le sprinteur Fisher. Mais maintenant, il faudra peut-être faire avec Pereira da Rosa. Des débuts au Clube Dataro de Ciclismo en 2012 avant de les quitter cette saison pour l'équipe américaine Better Specialized. Si il continue de progresser, il pourrai bien être le premier brésilien à inscrire son nom à une classique.
La Serbie n'est pas en reste avec un grand espoir, Zekavica. Celui-ci a débuter dans le club de son pays, le Partizan Power Move. Depuis, il a évolué pour rejoindre l'Europe et les norvégiens de PCMNorge – Vinking, anciennement Ringerinks – Kraft. Reste à savoir si il sera capable de franchir un palier pour passer dans une grande équipe.
A 22 ans, Stark est dans le top. Pour l'instant, il reste dans l'équipe de ses débuts en 2013, le Jamis – Sutter Home. Quatrième des championnats des Etats-Unis la saison passé, il s'exprime pour l'instant surtout sur les courses américaine. Mais sans contrat à la fin de la saison, il pourrai bien découvrir l'Europe par la case Pro Tour.
Kreuziger s'illustre pour la République Tchèque mais le futur national peut se nommer Rubas. Des débuts à l'Ac Sparta Praha en 2011 avant de rejoindre en 2013 la seconde équipe tchèque: l'Asc Dukla Praha. Et depuis cette saison, les bons résultats s'enchainent lui permettant, peut-être, d'aspirer à rejoindre le niveau supérieur.
L'Allemagne est un peu en retrait avec Dehmel qui n'est que le premier. Et surtout, il reste dans les petites équipes. En effet, après quatre ans au Lkt Team Brandenburg, il rejoint cette saison l'équipe asiatique Champion System. Mais cette année, les résultats semblent enfin au rendez-vous, ce qui peut lui faire espérer de franchir un pallier, si il confirme dans son équipe l'an prochain ou il sera encore pour une année.
Le suivant évolue déjà en Pro Tour: Kajetan Fricke. Après une année 2011 au sein du Team Vorarlberg, il part courir en amateur. Ensuite, il rejoint la Deutsche Bank avec qui il grandit. Et depuis deux, ans on le voit sur les classiques ardennaises mais aussi au dernier tour de France. Mais cette année, il a réussit à suivre les meilleurs sur les trois classiques, finissant même sixième de l'Amstel Gold Race. Nul doute qu'on le verra encore dans les saison futur, même si il devra faire avec la concurrence de son leader Nerz.
Gros espoir italien, Moreno Moser(élite-2) peine à confirmer. La preuve, fin 2011, il réussit à trouver une équipe mais pas à la hauteur des espoirs placé en lui; il signe pour l'équipe brésilienne Funvic – Pindamonhangaba. Équipe ou il est encore. A 24 ans, il va bientôt être temps pour lui d'enfin se montrer pour rejoindre l'élite dont il rêve surement.
Woznicki débute en 2011 au Legia – Felt. Depuis, il a rejoint l'équipe phare de Pologne, le CCC Polsat Polkowice. Actuellement, il y court toujours et est devenu l'un des leaders de la formation. La saison dernière, il réalise à prendre la 24ème place de championnat du monde très exigeant, qui prouve sa valeur. Mais pour la saison prochaine, son avenir est déjà réglé, il courra toujours pour la même équipe.
Gerrans est toujours présent chez les australiens mais la jeune garde monte avec Grimshaw. En 2013, il est repéré par une équipe australienne, V-Australia, qui l'engage en néo-pro. Et en 2014, il monte déjà sur le podium de son championnat national et remporte un tour, celui de Beauce. Cette performance tape dans l'œil des dirigeants Sky qui viennent de l'engager cette saison.
Décidément, l'Autriche est bien fournit avec encore un, Lindlbauer. Des débuts au Rc Arbö l'on conduit à rejoindre la plus grosse écurie autrichienne, le team Vorarlberg. C'est dans cette équipe qu'il court toujours et se montre principalement sur les course allemande et autrichienne qui lui réussisse plutôt bien. La preuve, sa 24ème place au tour d'Autriche la saison dernière avec à la clé, quelques place dans les dix.
Les belges semblent eux plus à la peine que sur les pavés car Van Snick semble bien seul dans ce classement. Et depuis 2011, il est fidèle à l'équipe de ses débuts, Donckers Koffie – Jelly Belly. Mais, vu le manque de jeune belge, il risque bien d'attirer les formations belges plus huppées à la recherche d'un leader ou équipier belge. Un départ cette année est donc envisageable.
Les espagnols semblent aussi en manque de jeune même si Herrada Lopez n'est pas tout seul. Pourtant, il semblait prometteur lui qui a commencé à la Movistar. Mais, fin 2011, l'équipe ne veux plus de lui. Il rebondit alors au sein du team Burgos 2016. Mais là encore, les résultats sont difficile, pas un seul top quinze. Heureusement, il lui reste une année de contrat. Mais il va falloir se montrer plus pour espérer toujours avoir une équipe dans le futur.
Direction le Canada et Boily. Il débute chez lui, avec le Team SpiderTech Powered by C18. De bonne performance lui en permit de rejoindre cette année l'équipe italo-vénézuélienne Androni Giocattoli – Pirelli. Et sa progression ne semble pas finit.
Deuxième et dernière espagnol, Andrès Lusarreta est lui aussi un grand espoir côté ibérique. Et pour ses débuts, c'est Euskatel qui s'est montré le plus convaincant. Ainsi, en 2015, il court dès sa première saison dans le Pro Tour. Il lui reste plus qu'à apprendre pour un jour, jouer les premier rôle.
Une année 2011 en amateur avant de rejoindre les nordistes du Roubaix Lille Métropole pour Saux(élite-2). Très en vue sur les courses auxquelles il a participer, Bernaudeau et Europcar lui on alors fait les yeux doux. Et en 2014, il a accepté ses avances pour rejoindre l'équipe Pro Tour. Et pour sa première saison avec les vert, une 20ème place sur le grand prix de Plouhay très encourageante.
Troisième allemand, Sydlik na rien à envier aux deux autres. En effet, de bon début chez Nuttrixion en 2011 et quatre bonnes années lui ont ouvert les portes du Pro Tour. Mais pas pour une équipe allemande, il a choisit de partir loin, à l'Est. En effet, il est désormais équipier de Zeits ou du champion du monde Fuglsang chez Astana. Dure de se faire une place mais l'allemand va se battre, lui qui était sur la semaine ardennaise.
Voilà un autre italien avec Donato. Mais lui semble dans le dur niveau carrière. En effet, il signe néo-pro chez Colnago en 2012. Mais deux ans plus tard, il n'est pas conservé et ne trouve pas d'équipe. Cette saison, la modeste équipe Better-Specialized lui offre une seconde chance. A lui de la saisir et de rebondir pour prouver à Colnago qu'ils auraient dut le conserver.
Dernière italien maintenant, Chianelli. Déjà évoqué lors du dossier flandrien, il semble à l'aise autant sur les pavés que dans les bosses. Un futur coureur du tour des Flandres et, pourquoi pas, capable de remporter les cinq classique, ardennaise et flandriennes.
Et si Vainsteins avait un successeur sur un podium mondial avec Stonis? En tout cas, le jeune letton doit encore progresser et pour cela, peut-être changer d'équipe. Il la déjà fait quittant fin 2013 le VC la Pomme Marseille, l'équipe de ses débuts. Mais le choix de rejoindre l'équipe de son pays, Alpha Baltic, n'était peut-être pas la meilleur idée. En effet, comme avec l'équipe franco-lettone, les résultats ne sont pas là et son palmarès toujours vierge de la moindre place d'honneur. Peut-être que la première sera le déclic de sa carrière?
Encore un jeune qui a fait beaucoup parler chez les juniors, Jungels(élite-2). Il lui aura fallut deux ans chez les amateurs avant de rejoindre une équipe. Et alors, direction la Croatie et Loborika. Quelques résultat timide mais 2015 semble bien partit. A lui de montrer donc qu'il mérite sa place au niveau supérieur, pourquoi pas dans la structure luxembourgeoise.
Don n'est pas titre social mais bien la nom du coureur hollandais. Et il a choisit pour débuter sa carrière, non pas les oranges de la Rabobank, mais la seconde grande équipe des Pays-Bas, Vacansoleil qui la engagé comme néo-pro en 2014. Et cette saison, des résultats encourageant sont déjà là. Attention donc à ce jeune coureur qui est peut-être le successeur des Boogerd, Poels et compagnie.
Peut-être nouveau pays au palmarès d'un classique, la Nouvelle-Zélande. En effet, si il continu de bien progresser, le meilleur attend Gunman. Pourtant, il a failli tout arrêter en 2011 quand le team PureBlack ne la pas prolongé. Mais une année plus tard, il revenait avec Amore&Vita. Et depuis cette année, il essaye de se révéler avec l'équipe sud africaine Outch Africa. Bonne chance à lui.
Voilà un slovaque que l'on reverra car Macak na rien d'un singe. On reparlera de lui sur le dossier grimpeur car il fait partit des grands espoir. Il en est de même sur les vallons ou il peut réussir là ou P.Velits a échoué. Pour cela, il lui faudra sans doute quitter l'équipe TV Nova - Merida, ex Dukla Trencing – Merida. En fin de contrat cette saison, on le sait déjà sur les tablettes de quelques équipe Pro Tour.
Et on conclue ce dossier sur un ukrainien, Filin. En 2011, il signe chez Kolss Cycling Team qui ne le conservera pas. Une année amateur, il revient chez Vevissima, ex équipe continental Lampre: ISD – Lampre. Depuis trois ans, il y est. Mais après une saison 2014 blanche, il doit se ressaisir si il veut espérer rejoindre le haut niveau, pourquoi pas la Lampre qui na pas voulu de lui.
Voilà la fin de ce second dossier de l'année qui j'espère vous aura plus. Et comme précédemment, voilà les meilleurs puncheurs de la partie:

N'hésitez pas à signaler si ces post vous semble trop long, je raccourcirai le prochain. Le prochain justement, pour quand? Bonne question. Il sera sans doute consacré aux grimpeurs après le Giro qui s'annonce très montagneux cette année.